• Photo de classe des années 50, quelques noms donnés …

    Merci à Danielle Mercat, aujourd’hui Danielle Corbière, ancienne institutrice, qui a très sérieusement repris règle et crayon pour dessiner le plan de la classe et commencé à mettre une date et des noms sur cette photo envoyée par Daniel Bordessoulle.
    Le travail étant en cours, qui saura poursuivre ?
    Nous attendons vos réponses à info.sauvetatdudropt@gmail.com

  • Les jeux d’autrefois dans le village … mais qui trouvera le nom des athlètes ?

    Depuis toujours, les associations sauvetatoises ont organisé des manifestations dans le village. Si nous remontons dans les années d’après guerre, les jeunes, très nombreux, participaient assidument aux défis sportifs.

    Voici deux photos envoyées par Daniel Bordessoule qui lui-même les tenait de Jeannette Yousfi (tante de notre Tati Sauvette!) pour sauvegarder la mémoire du village.

    Sur la première, on peut voir deux jeunes gens, fille et gars, semblant participer à une course de brouette si l’on en juge par le mouvement qui semble vif et déterminé de la conductrice tandis que son coéquipier tente de garder l’équilibre! On voit des chaises alignées dans la rue pour des spectateurs qui ne doivent pas être très loin.

    Sur la seconde, quatre gaillards en caleçon de bain posent devant l’objectif. On sait qu’il existait une « plage » dans le village tout au bout de l’Avenue du Gué. On peut supposer qu’ils vont se baigner. Ou bien, qu’ils vont participer aux jeux qui étaient organisés sur le Dropt au bout de la Place du Moulin.

    Bref, beaucoup de questions dont nous aimerions avoir les réponses. Et puis, qui saura reconnaître ces six jeunes et nous donner les noms ? Qui saura nous parler des manifestations dont il s’agit ?

    Nous attendons vos réponses à info.sauvetatdudropt@gmail.com

  • Mathieu travaille son champ entouré de cigognes

    Jeudi en fin de matinée, Mathieu Gardeau, joueur et entraîneur au club de l’ASSA Pays du Dropt, qui travaillait son champ aux alentours de La Féria (ancienne boite de nuit sur la commune d’Agnac), s’est vu suivi par des cigognes. A croire que leur couloir de migration a changé puisqu’on peut les observer depuis quelques années dans notre région.

    En savoir plus, migration et balise

    Le site ACROLA, Association pour la Connaissance et la Recherche Ornithologique Loire Atlantique, explique les couloirs de migration généralement empruntés par la cigogne blanche.

    « En Europe, les Cigognes blanches suivent deux axes aériens pour réaliser leur migration.
    Ces deux voies de passage divisent les Cigognes blanches européennes en deux populations distinctes: les Cigognes de l’Ouest de l’Europe et celle de l’Est.
    Les Cigognes nidifiant à l’Ouest migrent en prenant la direction du détroit de Gibraltar via la France et l’Espagne pour rejoindre généralement le Maghreb voire des zones d’hivernages plus lointaines en Afrique sub-sahariennes : Mali, Niger, Tchad, Nigeria, Cameroun…

    Les Cigognes Est-européennes visent le détroit du Bosphore via la Grèce, contournent la Méditerranée en longeant ses cotes Est pour arriver en Afrique par l’Egypte. Elles occupent alors une vaste zone de l’est de l’Afrique de l’Egypte au Sud de l’Afrique en passant par la Tanzanie et le Kenya. »

    Nous pouvons les informer que depuis 2 ou 3 ans maintenant, le couloir des cigognes de l’Ouest change puisqu’au lieu de suivre la côte atlantique, on les retrouve dans les terres, chez nous en Lot-et-Garonne. Ces apparitions sont toujours un plaisir pour ceux qui les voient. Ici, Mathieu travaillait près de la D933 où de nombreux véhicules ont ralenti ou se sont même arrêtés pour immortaliser le ballet de ces grands oiseaux évoluant autour du tracteur.

    Merci à ceux qui ont téléphoné pour raconter et à Mathieu pour l’envoi de ces photos.

  • Le Maire a marié sa deuxième fille

    Article et photo de Guy Brunetaud, correspondant local du Journal Sud-Ouest du mercredi 31 juillet 2024.

    « Samedi 27 juillet, Jean Luc Gardeau, ceint de l’écharpe de maire, a marié sa deuxième fille Amandine avec Mathieu Estève. Il avait déjà marié son aînée en 2017.

    Amandine a fréquenté le RPI (regroupement pédagogique intercommmunal) de la vallée du Dropt, le collège Lucien Sigala de Duras et fait des études de métreurs et s’est orientée vers la petite enfance en obtenant son diplôme d’auxiliaire de puéricultrice avec un emploi aux urgences pédiatriques de Purpan à Toulouse. Passionnée de basket-ball, Amandine fait partie des bénévoles de l’équipe de France féminine.

    Mathieu Estève, ancien rugbyman et chasseur de palombe, dirige avec son frère une entreprise de création parcs et jardins. Amandine et Mathieu ont deux petites filles, Juliette et Capucine heureuses d’avoir assisté au mariage de leurs parents. C’est avec beaucoup d’émotions que Jean-Luc Gardeau a uni les deux époux en leur souhaitant beaucoup de bonheur, dans un instant mémorable pour le père et le maire. »

  • Un tableau d’Olivier Bondois sélectionné pour l’International Art Prize de New-York Manhattan

    Olivier Bondois, sauvetatois, fuit la civilisation bien qu’il vive en plein cœur du village et passe de longues heures à peindre depuis qu’il est très jeune comme sur cette photo où il n’a que 4 ans.
    Inscrit sur le site italien Pitturiamo dédié aux artistes connus ou inconnus où il expose, un des tableaux d’Olivier intitulé « 2001 » vient d’être sélectionné pour une participation en ligne à l’International Art Prize New-York Manhattan.

    L’ International Art Prize à New York – Manhattan a pour objectif de donner une visibilité à tous les artistes admis dans un contexte international d’un certain prestige et d’identifier 25 talents à inclure dans un réseau d’artistes internationaux, flanqués de grands Galeristes européens et non européens.

    Pour poursuivre l’aventure et voir son tableau affiché dans cette prestigieuse galerie new-yorkaise en ligne qui lui permettrait de se faire connaître auprès des plus grands amateurs ou professionnels, Olivier doit répondre avant le 15 mai. L’histoire et nos échanges du jour ne permettent pas de savoir s’il franchira le pas. De notre côté, nous l’encourageons vivement à poursuivre et attendons impatiemment la suite des évènements …

     

     

  • Pourquoi offre-t-on du muguet le 1er Mai ?

    Un article qui vous explique tout sur le muguet et son lien avec la Fête du Travail. A lire en ligne sur le magazine GEO.
    Photo des bouquets de muguets et de roses de Lisa, vendus le 1er Mai au Bar-Restaurant Les Fées Gourmandises.

    Quel est le symbole du muguet ?

    Comme chaque année, il est de coutume d’offrir un brin de muguet à ses proches le 1er mai. Arrivée en Europe au Moyen Âge, cette fleur odorante – et toxique – est originaire du Japon.
    Symbolisant le retour du printemps et des beaux jours, elle est même synonyme de porte-bonheur dans certaines cultures.

    Pourquoi offre-t-on des brins de muguet le 1er mai ?

    C’est au XVIe siècle que la tradition d’offrir du muguet est née. A cette époque, la fête de l’amour n’était pas le jour de la Saint Valentin, mais bien le 1er mai. Les princes et les seigneurs fabriquaient alors des couronnes de fleurs, afin de les offrir à leur bien-aimée. Ayant reçu du muguet, le roi Charles IX décida, le 1er mai 1561, que dorénavant, les dames de la cour recevraient cette fleur à clochettes blanches tous les ans. Le muguet a gagné en popularité au fil des siècles, très présent dans les défilés de mode et les parfums.

    Pourquoi est-il de coutume d’offrir 3 brins de muguet ?

    Traditionnellement, on offre trois brins de muguet composés, si possible, de 13 clochettes pour porter chance à celui qui reçoit le bouquet.

    Quel est le rapport entre le muguet et la Fête du travail ?

    Si la Fête du muguet et la Fête du travail ont toutes les deux lieu le 1er mai, ces deux célébrations n’ont pas grand chose d’autre en commun. La Fête du travail, dont les origines remontent aux Etats-Unis en 1884, commémore le combat des travailleurs pour obtenir de meilleures conditions de travail.
    On pourra néanmoins remarquer que, de nos jours, certains manifestants ont pris l’habitude de porter un brin de muguet à leur veste, au lieu de l’habituelle églantine rouge.

  • Les sauvetatois ont sorti les bottes pour immortaliser la crue du Dropt

    Finalement, ces photos ne sont plus trop d’actualité puisque, malgré les caprices de la météo, le Dropt qui était en crue une fois de plus en cette fin février a déjà presque repris son cours habituel. Mais il est toujours intéressant de voir les angles de prises de vues des résidents de notre commune qui se sont aventurés au plus près de la rivière pour immortaliser l’instant.

    Ces promeneurs-partageurs se prénomment Martine et Aqui Clic – pseudo d’un artiste des hauteurs du village – A vous de reconnaître leur position dans le village.

  • Flash nature, cigognes en transit !

    La nature a toujours de beaux spectacles à nous offrir. Il faut savoir les observer et, pourquoi pas, les immortaliser lorsque c’est possible. Ce fut le cas ce samedi 24 février où un vol de quelques 90 cigognes blanches ont fait une halte migratoire tout près du village de La Sauvetat du Dropt, dans des prés de la commune d’Eymet.

    Un bel attroupement très affairé à s’alimenter dans ces prés où l’eau, tombée en abondance ces derniers mois, stagne. Ce phénomène, assez inhabituel dans notre région où nous observons généralement des grues et des oies, a fait stopper plusieurs automobilistes dont certains avec appareil photo. Si les oiseaux ne paraissaient pas effrayés outre mesure, ils finirent par reprendre leur envol en fin de matinée en formant un beau ballet au dessus du Château de Lauzanac.

    Merci aux sympathisants du village d’avoir prévenu de leur présence et merci à Francis Secco pour ces belles photos.

  • Un scaphandrier sauvetatois au secours d’une péniche à Meilhan sur Garonne

    Information et photos de Jacqueline Herrier alias Jacotte, mère de Léon Bérard, famille domiciliée à La Sauvetat du Dropt. Illustré par un article du Républicain 47 du jeudi 15 février, écrit et publié par Mathieu Vich et une photo de Yvan Duthu-Vienne.

    Léon Bérard (à droite sur les photos) s’est associé à deux copains, Yvan Duthu-Vienne et Maël Rabeisen, pour reprendre l’entreprise TRAQ spécialisée dans les travaux aquatiques. Si le siège est basé à Lamothe-Landerron (33), Léon est domicilié à La Sauvetat du Dropt où il partage une maison avec sa mère et son compagnon Avenue de Grammont.

    C’est leur passion commune pour la plongée qui leur a fait choisir le métier de scaphandrier pour effectuer des travaux publics sous l’eau. Soudure, découpage, assemblage, bétonnage, travaux sur des barrages EDF, pose de bouées ou renflouage de bateaux. Le travail est varié et ne manque pas dans les profondeurs ! Un métier aux conditions souvent fastidieuses qui leur fait parcourir les routes de France pour rejoindre les chantiers.

    En ce début de semaine, c’est une péniche coulée dans le canal à Meilhan sur Garonne qu’ils ont dû remonter. Un travail de longue haleine et périlleux qui s’est terminé avec succès.

    Pour en savoir plus sur ce métier-passion et les chantiers incroyables jusqu’ici réalisés, parcourez les pages du Républicain du 22/12/22 (article de Anaëlle Montagne) et du 18/02/24 (Mathieu Vich).

    Dans les prochains mois, la TRAQ installera les pontons et plongeoirs des Jeux Olympiques de cet été 2024. Félicitations, messieurs, pour cette profession hors du commun que nous découvrons grâce à Jacotte, maman de Léon !

  • Belle randonnée sous le soleil mais les pieds dans la gadoue

    Photos de Kiki, Yves et Isabelle.

    La date du 30 avril est réservée chaque année par Les Amis de la Sauveté qui proposent une randonnée de printemps à tous les amoureux de la marche et de la nature. C’est ainsi qu’une quarantaine de personnes se retrouvaient en fin d’après-midi baskets aux pieds pour suivre Martine sur un parcours de 12 km ou Kiki, sur un parcours de 6.

    Malgré des chemins boueux en raison de pluies bienfaisantes tombées quelques jours auparavant, l’ambiance était au beau voire même à la franche rigolade lorsque la jeune Victoire laissait sa chaussure plantée dans la gadoue. Loin d’être vexée ou grognon, c’est aidée de son amie Léa que la basket était remise pour poursuivre le parcours.

    Passant sur les communes de Soumensac et St Jean de Duras, le groupe au final séparé en petites bandes ne manquait pas d’admirer la campagne avec de magnifiques couleurs en cette période de l’année ainsi que la flore qui explose au printemps avec notamment de nombreuses orchidées.

    Tout le monde se retrouvait au retour pour déguster une excellente soupe à l’oignon et des gâteaux maison cuisinés par les dames de l’association dans un joyeux brouhaha.
    Plus tard, dans la soirée, au moment de la remise en place de la salle, Jacques Foglia et les membres de son association se félicitaient d’avoir accueilli de nouveaux marcheurs. Et pour ne pas faillir à la réputation de village aux multiples nationalités, s’amusaient des conversations entendues en anglais mais aussi en russe.

    La prochaine randonnée est programmée pour le samedi 24 juin où la journée se terminera par un Feu de St Jean animé par le duo féminin Zic Zag.

     

  • Un essaim d’abeilles dans un jardin sauvetatois

    Alors qu’il travaillait dans son jardin, Jean-Marc, ex employé municipal de La Sauvetat du Dropt, était attiré par un agglutinement d’insectes au pied de son boitier électrique. Constatant qu’un essaim d’abeilles cherchait un endroit où se loger, il décidait de faire appel à un apiculteur. Bien que ce ne soit qu’une activité de loisirs, c’est Jean-Luc Carmelli du Domaine de Laplace qui se déplaçait depuis St Jean de Duras avec une ruche et bien sûr, la tenue adéquate pour manipuler la colonie en toute sécurité.

    Sous le regard attentif de Jean-Marc et de quelques curieux, il lui fallut peu de temps pour mettre le plus gros de l’essaim au dessus des cadres, sans savoir si la reine, élément indispensable à la survie de la colonie, faisait partie du lot. Jean-Luc décidait de tout laisser sur place pour quelques heures.

    Revenu vers 21h, il constatait que toutes les abeilles étaient dans la ruche. Maintenant logée entre vergers de fruitiers et vignes, il faut attendre quelques jours encore pour savoir si ce nouvel habitat plaira à la reine et sa population. Quoiqu’il en soit, Jean-Marc et Marie-Lise auront le privilège de goûter au miel du Domaine de Laplace.

  • Rencontre équine dans la Rue de l’Hospice

    Le passant qui déambulait par temps humide dans la Rue de l’Hospice en compagnie d’un jeune cycliste a eu le plaisir de croiser Jean-Pierre sur sa haute monture. Une sympathique rencontre qui arrivait du Pont Roman depuis la commune d’Agnac.