• Commémoration du 8 mai en présence du Colonel Lescoffit

    Photos de Jean-Paul Mothes, adjoint au maire.

    Mercredi 8 mai, un cortège partait de la Mairie de La Sauvetat du Dropt en direction du Monument aux Morts pour honorer les combattants du village tombés lors de la Seconde Guerre Mondiale et commémorer le 79ème anniversaire de la victoire du 8 mai 1945.

    Joseph Framarin, ancien combattant, était porte-drapeau en tant que doyen du village tandis que le Colonel Lescoffit, de Moustier, honorait de sa présence cette cérémonie présidée par le Maire Jean-Luc Gardeau. C’est à Martine Brosse, conseillère municipale correspondante des armées, qu’était confiée la lecture du message de M. Sébastien Lecornu, ministre des armées, et de Mme Patricia Mirallès, secrétaire d’État, chargée des anciens combattants et de la mémoire.

    Le cortège reprenait le chemin de la mairie à l’issue de la cérémonie pour partager le verre de la paix et de l’amitié.

  • Commémoration du 8 Mai 1945


    Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau et son Conseil Municipal vous invitent à la Commémoration du 8 Mai 1945, mercredi 8 mai à 11h à La Sauvetat du Dropt.
    Le cortège partira de la Mairie pour le dépôt d’une gerbe au Monument aux Morts.
    La cérémonie sera suivie d’un vin d’honneur.

  • Commémoration du 11 Novembre

    Photos de Anne Lesimple et Maëlle Valdevit, toutes deux conseillères municipales.

    Samedi, une délégation partait de la mairie pour se rassembler devant le monument aux morts de La Sauvetat du Dropt afin de commémorer l’armistice du 11 novembre 1918 et rendre hommage à tous ceux qui sont tombés pour la France.

    Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau était entouré de ses petits-enfants dont Loukas et Juliette, réquisitionnés pour être porte-drapeaux au côté du doyen Joseph Framarin. Martine Brosse, conseillère municipale lisait le texte de cette journée du souvenir avant que le premier édile et Charly, un autre de ses petits-fils, ne déposent la gerbe au pied du monument. Pour finir, la Marseillaise fut chantée a cappela par l’assistance en raison d’une panne de sono, ajoutant à la solennité du moment.

    Avant que le cortège ne retourne vers la Mairie pour le partage d’un verre, les jeunes mamans rassemblaient les enfants devant le monument pour une photo souvenir.

  • 43 ans après son père, Constance Tenot, se classe 6ème au Concours National de la Résistance et de la Déportation

    Explications de Jean-Pierre Tenot, adjoint au Maire, père de Constance. Photos de Paul Robin du Studio Pollux que l’on remercie d’avoir accepté de couvrir l’événement au pied levé et sans hésitation.

    Comme chaque année, et depuis maintenant des décennies, le Concours National de la Résistance et de la Déportation est ouvert à tous les collégiens et lycéens de France, sur la base du volontariat, sous forme de travail individuel ou collectif.

    Pour ce travail de recherche puis de rédaction, les élèves sont soutenus par les différents professeurs d’histoire-géographie de chaque établissement. Si ces travaux permettent, bien sûr, d’entretenir la mémoire collective de ces sombres heures de notre histoire, ils donnent aussi l’occasion aux élèves d’exceller dans la quête de documents, l’analyse puis l’écriture.

    L’épreuve, qui a duré 3 heures, a eu lieu le 30 mars. Le thème étant le suivant: « L’école et la résistance: des jours sombres aux lendemains de la libération (1940-1945). »
    Pour l’académie de Bordeaux, 1800 élèves se sont prêtés à cet exercice.

    Au cours de la première phase, un jury départemental sélectionne les différents travaux. Seuls ceux obtenant la mention « excellent » sont qualifiés pour le classement final au niveau académique. Ce fût le cas pour 83 d’entre eux dans la catégorie épreuve individuelle lycée.

    Notre village représenté par Constance

    La Sauvetat du Dropt était représentée par Constance TENOT en classe de terminale au Lycée Val de Garonne de-Marmande. Son devoir ayant obtenu la mention « excellent », Constance était donc qualifiée pour le classement final avec son collègue de la même classe, Paul ANASTAZE.

    La deuxième phase, celle de la remise des prix au niveau de l’académie, avait lieu à l’Athénée Municipal de Bordeaux le vendredi 16 juin. Constance et Paul étaient accompagnés par leur professeur Mr COURRÈGELONGUE. Ils se classaient tous deux 6ème ex-aequo.

    Une histoire qui se répète dans la famille Tenot

    43 ans plus tard, l’histoire se répète pour la famille TENOT puisque le père de Constance, Jean-Pierre, adjoint au maire, avait lui aussi reçu un prix pour ce même concours sur la résistance. Clin d’œil du temps, la boucle est bouclée !

    Félicitons Constance et Paul de VDG et bravo à Isia TALBI de Pau, grande gagnante 2023 pour cette catégorie « rédaction d’un devoir individuel en classe ». Elle a représenté le Béarn avec brio !

     

  • Commémoration du 78ème anniversaire de la Victoire du 8 Mai 1945

    Lundi 8 Mai, une délégation menée par Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau se retrouvait devant le monument aux morts pour commémorer le 78ème anniversaire de la Victoire du 8 Mai 1945. C’est Martine Brosse, conseillère municipale et correspondante défense qui lisait le message national de Monsieur Sébastien LECORNU, ministre des Armées et de Madame Patricia MIRALLES, secrétaire d’État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire pour cette commémoration.
    Message à lire ci-après : 2023 – Message pour le 8 mai

    Parmi les gens présents, des enfants accompagnés de leurs parents, des anciens et un groupe de britanniques du village représentant les forces alliés.

    Après la cérémonie, le groupe était invité à la mairie pour le partage du verre de l’amitié.

  • Commémoration du 8 Mai 1945

  • Belle délégation pour la Commémoration du 11 novembre

    Photos d’Amandine Gardeau et de Jean-Paul Mothes, 4ème adjoint à la commune.

    Vendredi 11 novembre, le soleil était au rendez-vous pour commémorer l’Armistice du 11 Novembre 1918 à La Sauvetat du Dropt.

    Outre les sauvetatois de longue date dont parmi eux les petits-enfants du Maire Jean-Luc Gardeau, étaient présents la communauté anglophone du village ainsi que l’institutrice Carine Paillé accompagnée de sa fille. Près du doyen Joseph Framarin, se tenait, très digne, Loukas, tous deux porte-drapeaux. Et avec le Maire pour déposer la gerbe au pied du monument, la petite-fille de Jacques Foglia, président des Amis de la Sauveté.

    Ce 11 novembre 2022 célébrait également les 100 ans de la construction du Monument aux Morts. Monsieur le Maire rappelait cet anniversaire en lisant le poème de l’Abbé Étienne Douat, écrit à l’occasion de la bénédiction de l’édifice le 8 octobre 1922.

    La municipalité remercie Christine de l’épicerie Cocci P’tit Panier du Dropt pour le don d’un chrysanthème.

     

  • Commémoration du 11 Novembre 1918


    Journée nationale de commémoration de l’Armistice du 11 novembre 1918 et d’hommage à tous les morts pour la France.

    Un peu d’Histoire

    Si le 11 novembre est devenu un jour de mémoire, c’est aussi la mémoire d’un jour, celui de l’Armistice de 1918 qui mit fin aux combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918).

    C’est en effet le 11 novembre 1918 au Palais Bourbon, à 16 heures, que Clémenceau lit les conditions d’armistice, salue l’Alsace et la Lorraine et rend hommage à la Nation. Ce « jour de bonheur » ne peut faire oublier à l’ancien combattant, revenu à la vie civile, l’expérience tragique et le message dont il est porteur. Il importe en effet que le courage et les sacrifices des soldats durant ces quatre années de guerre restent dans chaque mémoire. Ce sont les anciens combattants qui vont imposer peu à peu le 11 novembre comme fête nationale.

    Enjeu mémoriel

    Le 11 novembre au service «des mémoires de la Grande Guerre»

    Le 11 novembre, jour de commémoration de l’armistice de 1918, est progressivement devenu l’occasion de questionner et donner à comprendre l’histoire. Désormais, ce jour de mémoire permet d’évoquer régulièrement un épisode particulier de la Grande Guerre, éventuellement associé, en fonction des anniversaires, à une thématique plus large : en 1989, la Grande Guerre et la mémoire de la Révolution française . en 1992, les troupes coloniales dans la Première Guerre mondiale . en 1998, la contribution des Alliés à la Première Guerre mondiale . en 2003, le 85e anniversaire de l’Armistice de 1918 et le 80e anniversaire du premier allumage de la Flamme du Souvenir par André Maginot . en 2004 le début de la guerre et la victoire de la Marne . en 2006, Verdun . en 2008, le 90e anniversaire de l’Armistice de 1918 . en 2014, le centenaire du début de la Grande Guerre et l’inauguration de l’anneau de la mémoire . en 2016, le centenaire de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre . en 2017, le centenaire de l’arrivée au pouvoir de Clemenceau, etc.

    Le 11 novembre et la mémoire des OPEX

    OPEX : Opérations militaires extérieures de la France

    La loi du 28 février 2012 fait de cette journée nationale une journée d’hommage à tous les morts pour la France, quel que soit le conflit. Le 11 novembre devient une forme de catalyseur des mémoires des morts au combat, permettant pleinement aux OPEX d’être intégrées à la mémoire collective. Cette nouvelle législation impose par ailleurs aux communes de naissance ou de dernière domiciliation d’inscrire sur le monument aux morts, ou à proximité, les noms des personnes dont l’acte de décès porte la mention « mort pour la France ». Dès lors, tous les noms des soldats tombés en OPEX obtenant ladite mention sont inscrits sur les monuments aux morts des communes.

    Information tirée du site cheminsdememoire.gouv.fr et diffusées par le Secrétariat d’État chargé des Anciens combattants et de la Mémoire.  

  • 77ème anniversaire de la victoire du 8 mai et 77 ans d’écart d’âge entre les porte-drapeaux !

    Les photos sont de Germain Sauron, 1er adjoint excepté la photo des porte-drapeaux réunis de Patricia Gardeau.

    Le 8 Mai 1945 marque la fin de la seconde guerre mondiale. Célébrée à La Sauvetat du Dropt en fin de matinée dimanche 8 mai, cette commémoration réunissait un petit comité. A noter cependant la présence de deux porte-drapeaux du village dont l’écart d’âge est l’équivalent de ce 77ème anniversaire de l’armistice ! Joseph, le doyen et Loukas, petit-fils du Maire Jean-Luc Gardeau, aussi sérieux que son aîné dans le rôle qui lui était assigné. Pour parfaire la symbolique, une gerbe était déposée au pied du monument aux morts par la jeune Victoire, fille de Maëlle Fleury-Valdevit, conseillère municipale !

  • Cérémonie de commémoration du 8 mai 1945

  • La FNACA remet des décorations aux anciens combattants

    Article et photo Sud-Ouest de Patricia Paties-Cassol, correspondante du journal sur Miramont de Guyenne. Parution du 23 mars.

    7 anciens combattants décorés pour la commémoration du 19 mars

    « Le 60e anniversaire de la commémoration de la journée nationale du souvenir et de recueillement, à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc, s’est déroulé samedi matin 19 mars. C’est tout d’abord à la stèle du boulevard Gambetta qu’ont été déposées des gerbes. Le cortège nombreux s’est ensuite rendu au monument aux morts pour la lecture des discours. Puis, après le dépôt des gerbes, sept anciens combattants ont reçu des décorations. Cyr Le Bot, décoré par Marie-José Bonadona, maire de Saint-Pardoux-Isaac ; René Munier, décoré par Jean-Noël Vacqué ; Robert Salvant décoré par Alain Picard, conseiller départemental ; Bernard Sauvaud, décoré par Jean-Luc Gardeau, maire de La Sauvetat-du-Dropt ont tous reçu la croix du combattant. La médaille de la Reconnaissance de la Nation a été remise à Guy Gibert par Yves Peillet, vice-président du comité Fnaca. Enfin, remise de la médaille commémorative AFN (AFrique du Nord) à Daniel Maura par Éric Trellu, maire de Roumagne ; à Michel Testut, par Alain Salsench, conseiller municipal, correspondant défense représentant le maire d’Agnac. »

  • Cérémonie du 11 novembre, coquelicots à la boutonnière

    Respect du devoir de mémoire à La Sauvetat du Dropt en ce jeudi 11 novembre.

    Autour du Maire Jean-Luc Gardeau, très peu de conseillers municipaux, et c’est dommage, quelques familles avec leurs enfants, des anciens du village, toujours fidèles et la communauté britannique bien représentée. A leur boutonnière ou imprimé sur un foulard, le coquelicot, équivalent du bleuet en France.

    Bleuet et coquelicot

    Comme le Bleuet en France, le coquelicot est avant tout un symbole pour se souvenir des combattants de la Grande Guerre. En effet, c’est un poème de l’écrivain canadien John McCrae qui aurait inspiré la tradition. Datant de 1915, le poème In Flanders Fields – ci-dessous – raconte qu’après la guerre, les coquelicots fleurissaient sur les tombes des soldats à travers toute l’Europe.

    « John McCrae était un médecin militaire canadien. Il aurait écrit ce poème le 2 mai 1915 durant la bataille d’Ypres. La légende dit qu’il l’aurait composé en vingt minutes dans un abri en attendant les blessés. Devenu célèbre dans les pays du Commonwealth, ce poème a associé pour toujours l’image des coquelicots au souvenir des morts tombés au champ d’honneur. Voici la version originale et sa traduction française officielle. »

    In Flanders fields

    In Flanders fields the poppies blow
    Between the crosses, row on row
    That mark our place; and in the sky
    The larks, still bravely singing, fly
    Scarce heard amid the guns below.

    We are the dead. Short days ago,
    We lived, felt dawn, saw sunset glow,
    Loved and were loved and now we lie
    In Flanders fields.

    Take up our quarrel with the foe:
    To you, from failing hands, we throw
    The torch; be yours to hold it high.
    If ye break faith with us who die
    We shall not sleep, though poppies grow
    In Flanders fields.

    Au champ d’honneur

    Au champ d’honneur, les coquelicots
    Sont parsemés de lot en lot
    Auprès des croix; et dans l’espace
    Les alouettes devenues lasses
    Mêlent leurs chants au sifflement
    Des obusiers.

    Nous sommes morts,
    Nous qui songions la veille encor’
    À nos parents, à nos amis,
    C’est nous qui reposons ici,
    Au champ d’honneur.

    À vous jeunes désabusés,
    À vous de porter l’oriflamme
    Et de garder au fond de l’âme
    Le goût de vivre en liberté.
    Acceptez le défi, sinon
    Les coquelicots se faneront
    Au champ d’honneur.