• Le salon de coiffure ManiHair fait le show

    Ouvert depuis le 1er septembre, le Salon de Coiffure ManiHair communique et nous fait partager quelques photos de coupes réalisées. La vitrine aussi a pris un coup de jeune et affiche les horaires aux couleurs du salon.

    Alors, une envie de nouvelle coiffure ou d’une couleur aux avant-goûts d’automne? Allez vite au Salon ManiHair. Sur présentation du bon de réduction, Amandine propose une remise de 10% sur toutes les prestations lors de votre première visite (hors vente de produits).

  • Votre salon de coiffure ManiHair ouvre aujourd’hui


    Amandine Fedrigo vous attend à partir d’aujourd’hui vendredi 1er septembre dans son salon de coiffure ManiHair. Situé au 36 de l’Avenue de Grammont, près du Bar-Tabac-Restaurant des Fées Gourmandises à La Sauvetat du Dropt. Amandine propose des coupes pour homme, femme et enfant.

     

    Manu, 1er client pour Amandine 😉

  • De nouveaux inscrits dans l’annuaire des professionnels

    Ils sont, soit installé depuis peu sur la commune de La Sauvetat du Dropt, soit repreneur de l’entreprise familiale, soit habitant du village mais gérant d’un magasin sur le territoire du Pays de Lauzun ou encore infirmière à domicile, voici les nouveaux professionnels à retrouver sur l’ANNUAIRE en ligne de votre village (menu de la colonne de droite).

    N’hésitez pas à vous faire connaître si vous résidez dans le village et menez une activité sur le Pays de Lauzun ou si vous gérez une entreprise dans le village. L’insertion dans l’annuaire de votre site est gratuite.

  • Les Fées Gourmandises aux couleurs du Tour de France

    Le Bar-Tabac-Restaurant des Fées Gourmandises participait aussi au Tour de France en proposant une restauration rapide.

    Grâce au club tricot qui se réunit chaque jeudi après-midi, un beau vélo joliment décoré attendait le visiteur. Décoration que vous pouvez encore voir si vos pas vous mènent dans le village de La Sauvetat du Dropt. Les Fées Gourmandises se situent dans la Rue de Grammont, face à l’église.

  • Trésors de Guyenne et rencontres insolites!

    Initiative de la Commission Économie de la CCPL

    La Commission Économie du Pays de Lauzun, activement menée par Sylvie Vergné sa présidente, organisait jeudi 13 juillet une journée nommée « Trésors de Guyenne en Pays de Lauzun » afin de découvrir les richesses du territoire.

    Un long et très illustré résumé relatant chacune des visites sera prochainement diffusé sur le site de la CCPL. Pour aujourd’hui, c’est de La Sauvetat du Dropt dont il s’agit puisque les visiteurs se sont retrouvés sur la Place du Moulin pour le pique-nique de midi. Parmi eux, Jean-Luc Gardeau, Maire du village.

    Rencontres insolites au cours du pique-nique

    C’est avant et pendant le casse-croûte que nous avons eu la chance de rencontrer des gens de passage. Un premier groupe composé d’un cheval de trait accompagné de jeunes gens venant de Grignols (33) en direction d’Avignon (84). Comme nous, ils se sont installés pour partager leur repas champêtre.

    Puis, une autre belle rencontre. Deux jeunes touristes sur leur vélo en tenue de cyclistes colorées. Interrogés en espagnol par Germain Sauron, 1er adjoint de la commune, nous apprenions qu’ils étaient de nationalité mexicaine et qu’ils arrivaient d’Eymet où ils avaient assisté au départ du Tour de France de la veille. Leur périple devait les conduire jusqu’à Bordeaux, puis à Paris et enfin à Londres! Cette brève rencontre nous aura permis de vérifier la notoriété internationale de cet événement.

    Découverte du patrimoine sauvetatois

    L’arrêt pique-nique fut suivi d’une visite commentée par Francine Pandolfo, présidente des Amis de la Sauveté. Le petit groupe, composé de touristes mais aussi de locaux des communes voisines, aura découvert le patrimoine du village: le pont roman (appartenant pour moitié à la commune d’Agnac), les maisons à pan de bois, les vestiges du mur d’enceinte, l’église, la Maison de la Tour et Monviel ou encore la maison renaissance. Monsieur Murer, Maire de la commune d’Agnac, prit part à la visite en donnant des précisions sur les travaux de restauration effectués et ceux à venir du pont roman.

    Pour la petite histoire locale, restèrent à l’ombre des arbres de la Place du Moulin quelques sauvetatois festoyant plus longuement pour fêter l’anniversaire à chiffre rond d’Agnès. Cet événement personnel est ici relaté pour souligner l’excellence du gâteau fait par la Boulangerie Demadrille située dans la Rue de Grammont. Citons aussi le multiservice PROXI P’tit Panier du Dropt qui permit à certains de se ravitailler pour le pique-nique.

    Une journée riche et appréciée qui permit de découvrir le patrimoine mais aussi le savoir-faire du pays. Le détail des visites sera prochainement mis en ligne.

       
  • Nouveau numéro pour PIZZA Véro

    Veuillez prendre note, svp.

    PIZZA VÉRO change de numéro de téléphone.

    Elle vous attend sur la Place du Moulin chaque mercredi à partir de 18h.

    Il est fortement conseillé de commander au 07 86 41 28 21

  • L’Atelier Terre de Grès reste sur Eymet

    On se souvient de l’appel lancé en février concernant la recherche d’un local pour Sabine Camps et ses poteries. Bien que plusieurs sauvetatois se soient manifestés, aucun des locaux proposés ne convenaient pour une telle activité.

    Nous pourrions regretter de ne pas avoir ce bel atelier dans notre village mais approuvons la décision de la municipalité d’Eymet qui a finalement renouvelé le bail. L’Atelier Terre de Grès, que nous vous invitons à découvrir, est installé dans un local à l’entrée du château. Sabine expose également ses poteries sur de nombreux salons de la région ou chaque jeudi matin sur le marché.

  • Témoignage de némouriens suite aux inondations de juin 2016

    Nicole Lebert vivait avec sa famille à La Sauvetat du Dropt dans les années 60. Ils sont, avec son mari Gérard, de fidèles lecteurs de notre blog/site et envoient régulièrement de sympathiques messages. Ils vivent à Nemours, une commune de Seine-et-Marne (77) durement touchée par les terribles inondations de juin 2016.

    Nous échangeons des mails sur la vie de nos communes respectives et souhaitons aujourd’hui partager leur désarroi de l’après inondation. Les faits divers sont relatés sur l’instant puis tombent dans l’oubli bien que les conséquences soient encore visibles et souvent dramatiques.

    Rappel des faits

    Extrait d’un article de Delphine de Mallevoüe paru sur Le Figaro Premium du 2 juin 2016.

    « Des rues changées en fleuves, des voitures immergées jusqu’au toit, l’église noyée dans un mètre cinquante d’eau, des canots qui voguent au secours de la population… Dans le centre de Nemours, jeudi, les riverains se sont réveillés hagards, épouvantés par la métamorphose de leur ville depuis deux jours. En sortant de son lit, le Loing a chassé du leur des milliers d’habitants de cette commune de Seine-et-Marne – un des départements les plus touchés de France, qui restait jeudi encore en alerte rouge – contraints pour beaucoup de s’abriter dans le gymnase de la ville. »

    Presque un an après, le triste constat de Nicole et Gérard

    « Depuis les terribles inondations de juin 2016, notre petite ville a bien du mal à remonter la pente. Les magasins se font rares alors que le bourg était très vivant. Nous avons perdu le centre de radiologie. Les médecins n’ont plus de cabinet médical. De nombreuses familles ont tout perdu et ont du mal à s’en remettre. C’est le cas de certains de nos voisins.
    Il y avait un Parc Animalier à quelques kms de chez nous avec bouc, moutons, ânes, chevaux … 4m d’eau dans le parc! Les pauvres bêtes ont subi ces inondations accrochées au grillage. Tous les vétérinaires de la région se sont mobilisés pour les euthanasier.

    Les personnes âgées de plus de 80 ans n’avaient jamais vu ça. Nous avons appris qu’une brèche de 30 mètres dans un canal proche avait certainement ajouté à l’ampleur des dégâts. Il n’y avait pas eu réparation! Pour faire des économies! Nous pensons que la vie ne sera plus comme avant. Et pourtant, nous aimons beaucoup cette région et Nemours. Merci de partager notre histoire. »

    Centre ville de Nemours aux beaux jours.

    Centre ville le 2 juin 2016.

  • Un parc et jardin dans l’annuaire


    L’annuaire sauvetatois s’enrichit d’un nouveau professionnel sur la commune. Brandon Hottelet domicilié au lieu-dit Flouret propose ses services d’élagage, d’abattage, de taille de haie ou de nettoyage des déchets. Paiement en CESU possible. Tél. : 06.74.82.75.71 ou brandon47@live.fr

    Information à retrouver sur l’ANNUAIRE de votre site disponible dans le menu.

  • Un sauvetatois veut lancer un abattoir mobile

    Journal Sud-Ouest du samedi 6 mai. Article et photo de Camille de Lapoyade, correspondante pour le journal Sud-Ouest.

    Innovation: Laurent Allanou, sauvetatois, directeur des Ateliers de la Queille à Tonneins, entend à la fois lutter contre la souffrance animale et redynamiser les campagnes.

    L’idée fait son chemin au niveau national. Elle devrait même être expérimentée au deuxième semestre 2017, en Côtes-d’Or. Cette idée, c’est un abattoir mobile qui se déplacera de ferme en ferme pour tuer les bêtes sur place et leur éviter ainsi le stress du transport. Mais à Tonneins, Laurent Allanou, directeur des Ateliers de la Queille, entreprise spécialisée dans le matériel destiné à l’industrie agro-alimentaire, veut embrasser une logique qui met aussi l’humain au cœur du débat.

    « L’idée est venue de ces abattoirs provisoires installés pour la fête de l’Aïd el-Kébir, dans le respect des normes d’abattage et d’hygiène. Et nous avons fait un autre constat: il y a de moins en moins d’abattoirs en France (Villeneuve sur Lot est l’unique abattoir du 47). Les éleveurs doivent parfois faire des heures de routes pour y conduire leurs bêtes. Il y a un réel problème de bien-être animal. »

    Au delà de cette souffrance animale, Laurent Allanou teinte son idée d’une couleur éminemment politique: « Les métropoles absorbent et appauvrissent tout. Avec ces aménagements de territoire où tout est concentré, il y a aujourd’hui des zones isolées de tout. » Une réalité qui n’épargne pas le département.

    En lien étroit avec le collectif « Quand l’abattoir vient à la ferme » auquel adhèrent plusieurs centaines d’éleveurs, Laurent Allanou a aussi été sensibilisé par ces agriculteurs qui demandent le « bien vivre et mourir » de leurs bêtes. Et veulent mieux gérer leurs circuits de distribution. « Il faut tout faire en France pour soutenir l’élevage, notamment la filière bovine qui est une filière d’excellence », défend-il.

    En attente d’un feu vert national

    Le chef d’entreprise a donc entamé une démarche de recherche et développement pour pouvoir proposer ses abattoirs mobiles. Les plans sont prêts. La Région, elle aussi, semble très réceptive. Il ne manque qu’une dérogation du ministère de l’Agriculture. Parce qu’actuellement, tuer ses animaux chez soi, hormis pour sa consommation personnelle, est interdit et passible de fortes amendes et de peines de prison. Mais « on est prêt! » assure Laurent Allanou.

    Concrètement, un camion entièrement équipé se rendra chez l’éleveur. Avec deux options. Soit les animaux seront tués sur place, avec des normes sanitaires identiques aux abattoirs classiques et conduits ensuite vers la structure la plus proche pour la préparation et la découpe de la viande. Mais il faudra alors que l’exploitation ne se trouve pas trop loin de l’abattoir, puisque le délai entre les deux étapes est de moins d’une heure. Soit le processus se fera sur place de A à Z, de l’abattage à la préparation en quartiers.

    Ce modèle d’abattoir ne pourra en revanche pas tenir de lourdes cadences comme le modèle suédois. Tout au plus, cinq ou six bêtes seront tuées par jour. Pour la gestion du véhicule, Laurent Allanou pense, entres autres, le vendre à des regroupements d’agriculteurs tels que les Cuma ou les Gaec.

    Et surtout, le maître mot de l’entrepreneur, c’est la proximité. Lui-même l’appliquera pour la fabrication de son abattoir voyageur qui devrait coûter dans les  600 000 euros. Les pièces professionnelles seront fabriquées dans son atelier, et tout le reste ira entre les mains d’une carrosserie marmandaise. L’économie circulaire en résumé.

  • Le Golf de Boissec prépare la belle saison

    Le Golf de Boissec, situé sur la commune de La Sauvetat du Dropt, est fier de nous annoncer la sortie de son nouveau site. Il annonce non seulement le Golf, sur un parcours longeant la rivière du Dropt, mais aussi le Club House, pour boire un verre ou se retrouver entre amis, et un Gîte de caractère pouvant accueillir 6 personnes.

    Au sujet du golf

     » Le Golf de Boissec a été créé en 2007. C’est un parcours de 9 trous distribués sur 20 hectares et dont le par est 35. Le terrain est légèrement vallonné, donc physiquement abordable sans voiturettes, mais il présente un intérêt technique par des dévers, des obstacles d’eau, un bunker.

    C’est une ballade sans aller-retours à répétition et sans intersections. Aucuns trous ne se ressemblent. De nombreux arbres avaient été plantés et tracent naturellement une grande partie du parcours et régulièrement la rivière se rappelle à vous. Le trou n°4 a l’originalité de démarrer sur un  pont de pierre à trois arches, vieil ouvrage ferroviaire.

    Sa distance de 2250 mètres vous permettra de sortir le gros matériel si bon vous semble. »

  • Nouvelle signalétique pour La Sauvetat

    Après l’ouverture de l’aire de camping-car le printemps dernier, le conseil municipal a voté, en octobre 2016 et à l’unanimité, une commande de panneaux signalétiques pour être visible depuis les grands axes.

    Ces panneaux sont maintenant posés, grâce au service voirie de Duras, et annoncent non seulement l’aire de camping-car mais aussi l’espace pique-nique et la restauration possible dans notre commune. Vous les remarquerez sur la D933 dans les 2 sens.

    Sur la D19, en descendant depuis Ste Foy-la-Grande, la municipalité a choisi d’annoncer une aire de stationnement disponible de jour comme de nuit, dans un endroit calme et sécurisant.

    D933, en venant d'Eymet