• DROPT’ART, visite des deux ateliers de peintres sauvetatois, Audrey Bastard et Manu Henrion

    Samedi 25 septembre, avec Jean-Luc Gardeau et son épouse, je pars visiter les ateliers des peintres sauvetatois prenant part à l’itinérance artistique de la semaine DROPT’ART.
    Ces deux artistes, Audrey Bastard et Manu Henrion, ne se connaissaient pas avant de s’implanter dans le village de La Sauvetat du Dropt, au lieu-dit Peyronnette. Maintenant voisins, c’est tout naturellement qu’ils ont échangé sur leur travail d’artiste et que Manu incitait Audrey à faire découvrir son travail au cours des dix jours de balades en Pays du Dropt.

    AUDREY BASTARD

    Le premier atelier visité fut celui de AUDREY BASTARD. Déjà en pleine conversation avec un amateur de peinture, Audrey, au regard bleu azur, nous recevait en jeans, blouse et boucles d’oreilles aussi colorées et gaies que ses tableaux. Très peu de figuratif, surtout de l’abstraction, et libre aux visiteurs d’y découvrir des personnages ou des paysages, car la fluidité de l’encre suggère à chacun de s’imaginer une histoire derrière la libre expression d’Audrey. Suivant le grain, plus ou moins fin, ou suivant la texture du support plus ou moins absorbante, son travail est à la fois technique et ludique.

    Bien qu’elle ait commencé sa carrière d’artiste par la sculpture, Audrey, victime de grave maladie, a dû abandonner les volumes pour s’adonner à la peinture et au dessin. Une évidence lorsque dans son coma, elle avouera plus tard avoir littéralement intégré, “comme si elle avait été inondée de chaque œuvre”, les grands maîtres peintres et photographes qu’elle avait étudiés et aimés depuis l’enfance.

    Il en résulte dès le début de son difficile réveil, un attrait immédiat pour la couleur avec la réalisation de petites peintures carrées, aujourd’hui marouflées sur Médium (mdf). Puis durant les épreuves de sa longue convalescence, elle développe en parallèle deux petites pratiques, faciles à mettre en œuvre quelles que soient ses conditions de santé.

    S’ensuit un travail en noir et blanc où l’encre de Chine intensifie les contrastes et les gestes du dessin au pinceau, puis un travail d’expressions et techniques libres dans un journal de bord.
    Il en découle une très grande diversité de graphismes, une foisonnante liberté, une énergie follement colorée et un goût certain pour les encres de toutes sortes avec lesquelles elle peint et joue aujourd’hui. Quelles que soient les épreuves, Audrey cherche à les sublimer au travers de sa peinture.

    Une rencontre riche en émotions. Le partage d’une expérience douloureuse pour comprendre le chemin parcouru et ce besoin d’expression visible dans ces belles créations que vous pourrez découvrir à votre tour si vous contactez Audrey via labomarto@audreybastard.fr

    Photos des journaux de bord de la collection personnelle de l’artiste.

    MANU HENRION

    Second atelier, de l’autre côté de la route, dans une maison cubique d’allure ultra moderne bâtie autour de l’atelier de l’artiste, nous étions reçus chez MANU HENRION. Ce Belge installé avec son épouse dans le village depuis quelques années est toujours resté discret quant à ses activités artistiques avant d’accepter de participer à l’itinérance DROPT’ART.
    Nous entrons dans sa maison par l’entrée où sont accrochées de grandes toiles, là aussi, colorées. Sur la plupart des tableaux, une couleur domine et se décline en nuances subtiles. Des gris infinis, des bleus turquoise, des verts prairies de printemps … le style est abstrait bien que l’on y devine de vastes paysages ou des étendues d’eau aux reflets changeant, aux mouvements menaçants, surplombées de ciels chargés au travers desquels percent des rayons de lumière. Le fil conducteur en est toujours une ligne horizontale posée sur le premier tiers de l’œuvre et aussi, souvent, une touche de rouge flamboyant qui rappelle l’œil malicieux et pétillant du peintre.

    Dans cet univers cubique, nous empruntons un escalier rond en colimaçon pour parvenir à ce qui est véritablement l’atelier de l’artiste. Atelier où de grandes baies vitrées font jouer la lumière sur de nombreuses œuvres exposées aux murs et sur des tables. Des peintures acryliques et des pastels. Tout en discutant à bâton rompu, Manu Henrion propose une démonstration de pastel. Sur un petit papier carré au grain prononcé provenant des papeteries du Moulin de Larroque en Dordogne, la main est sûre et le geste précis. D’autant plus que ce travail, qu’il va offrir à Madame Gardeau, raconte, avec tout l’humour qui le caractérise, leur première rencontre dans le village. Contact mouvementé pour ne pas dire houleux au sujet d’une place de parking ! Histoire retranscrite au pastel qu’elle ne pourra pas oublier !
    Pour moi, un ancien grément toutes voiles gonflées prend le large. Au centre de la ligne horizontale de départ, une virgule rouge vermillon qui signale, au choix, le point d’ancrage quitté, le pompon du marin ou peut-être un avertissement à ne pas se fier au calme apparent de la mer qui semble, là, apaisée …

    Bien que Manu Henrion ait reçu une petite centaine de personnes au cours de ces 10 jours DROPT’ART, nous sommes seuls à ce moment-là et avons le privilège de partager un verre au comptoir de sa cuisine. Un autre espace de la maison où l’on prend conscience de l’échange permanent de l’artiste avec la nature. A travers une large baie vitrée se déploie un immense parc de verdure. Quelques arbres et posée au sol, une sculpture de métal rouillée que l’on dirait représenter un château fort aux murailles crénelées.

    Un grand merci pour cette intrusion dans votre univers d’artiste. La porte de l’atelier de Manu Henrion reste ouverte à qui le souhaite. Il suffit de prendre rendez-vous sur la page ad hoc de son site. Vous pouvez également suivre l’actualité de ses expositions sur sa page Instagram.

    Photos des tableaux seuls de H-uman.

     

  • DROPT’ART, visites d’ateliers d’artistes en Pays du Dropt

    Photo de l’affiche DROPT’ART créée par Manu Henrion, artiste peintre de La Sauvetat du Dropt.

    Dix jours de balades en pays du Dropt, sur nos routes de campagne, au cœur de 13 villages et bastides, du 17 au 26 septembre au rythme de 14 ateliers d’artistes et 7 lieux d’expositions, vous y rencontrerez les 56 artistes et découvrirez leurs œuvres, leurs techniques, leur univers.

    Pour la troisième année, les artistes du pays du Dropt : peintres, sculpteurs, photographes, tisserande, dessinateurs, plasticiens vous invitent à découvrir leurs lieux de créations, leurs différentes démarches artistiques, leurs invités en ouvrant leurs portes et en s’associant à des lieux de culture et du patrimoine.

    Le florilège vous permet de rencontrer une œuvre de chaque artiste du parcours sur trois jours dans le village de Monteton.

    Vendredi 17 septembre : Ouverture du Dropt’Art avec le vernissage du florilège à 18h30 au Bourg de Monteton.
    Samedi 18 et dimanche 19 septembre : Florilège de 10h00 à 19h00 au Bourg de Monteton.
    Du samedi 18 au dimanche 26 septembre : Ouverture des ateliers d’artistes et des lieux d’expositions, tous les jours de 10h00 à 19h00. Entrée libre et gratuite.

    Des vernissages, des rencontres, des ateliers découvertes (adultes et enfants) et des concerts sont programmés sur les différents sites tout au long de la manifestation (voir dépliant ou site).

    Contact : dropt.art.ateliers@gmail.com – 06 49 11 50 32 / 06 74 54 54 03
    https://droptartateliers.wixsite.com/artistes/ ou https://www.facebook.com/visitesdateliersdartistes

    Parmi les 56 artistes qui ouvrent leur atelier, deux sauvetatois

    Manu HENRION et Audrey BASTARD sont tous deux sauvetatois et se sont rencontrés parce qu’ils sont voisins. Leur maison respective se situent au lieu-dit Peyronnette, sur les hauteurs du village. Ils ouvriront tous deux leur atelier lors de ces journées DROPT’ART. Entrée libre.

    MANU HENRION, peintre pastelliste abstrait, il ouvrira son atelier et travaillera le pastel en direct.

    Naissance en 1951. Études en arts graphiques I.A.T.A. Namur , Belgique. Cours de dessin, croquis et peinture à l’Académie Constantin Meunier à Etterbeek (Bruxelles) en 1980 et 1981. Diplômé de l’ Académie des Beaux Arts à Namur : Cours de peinture de et avec Jean-Pierre Gonthier de 1987 à 1988 et de 1998 à 2004. Stages avec Sébastien Delire en 2003 et 2004.​

    AUDREY BASTARD, graphiste en art contemporain.

    Née à Marseille en 1975. Elle entre successivement aux Beaux-arts de Rueil-Malmaison, Amiens et Paris dont elle obtient les diplômes. C’est au cours de cette période intensive d’étude, qu’elle voyage en Grande-Bretagne, Chine, Thaïlande, Australie, Norvège, Italie, et développe sa maturité, sa sensibilité et l’assurance d’un travail artistique précis et “abrasif”.

    Après avoir travaillé 10 ans en région parisienne, Audrey Bastard se retire dans le sud-ouest de la France afin de poursuivre sereinement son travail. Ses sculptures, dessins et installations interrogent et revendiquent le monde contemporain en y convoquant les liens physiques et émotionnels qui le relie au passé ; « ce qui fait que le monde est ce qu’il est : difficilement palpable au présent et dans lequel une mise en ordre des choses finit par nous échapper… »

    DROPT’ART, les ateliers d’artistes, l’agenda et les temps forts
  • OCTOBRE ROSE : participation à un challenge de danse en vous filmant sur Jerusalema

    Cette année, le CRCDC (Centre Régional de Coordination de dépistages des cancers) – Site territorial du Lot-et-Garonne – s’associe à Action Cancer 47 & L’Orange bleue pour vous proposer un challenge de danse à l’occasion d’Octobre Rose : le Jerusalema Dance Challenge.

    Pour participer : c’est très simple !
    D’autres actions sur le territoire

    Notamment à Miramont de Guyenne où l’on retrouve Les As du Mic à l’origine de Voca Son Association de lutte contre le cancer pour un concert le samedi 16 octobre.

  • Vie professionnelle et vie privée, tout sourit à Maëlle Valdevit, créatrice de jardins et conseillère municipale

    Photos du mariage de Maëlle par la photographe Mélanie d’Éclat d’instant. Vidéo professionnelle de Maëlle et Nadège pour Inside Outside de Mathieu Maxime Prod.

    Fin août, la Mairie de La Sauvetat du Dropt s’est vu parée de belles guirlandes naturelles et colorées annonçant l’union de deux personnalités connues dans la commune : Maëlle Valdevit, sauvetatoise depuis toujours avec son compagnon et père de leur fille Victoire, Antonin Fleury. Pour les accompagner, ses parents connus et appréciés : Hélène, cantinière à l’école du village et Serge, carreleur retraité.

    C’est avec grand plaisir que Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau, assisté par la conseillère Isabelle René, ont eu l’honneur de célébrer le mariage de Maëlle, également conseillère municipale. Maëlle, paysagiste, qui fait profiter la commune de ses compétences en créations de jardins. On lui doit les aménagements paysagers partiellement réalisés sur l’aire de camping-car, devant la mairie ainsi que pour le projet en cours, celui de la Place du Prieuré.
    Depuis quelques années, elle collabore avec Nadège Lara qui imagine vos intérieurs. Une complémentarité qui plaît car ces « deux nanas dynamiques et pleine d’énergie » sont très à l’écoute de leurs clients. Elles viennent de mettre en ligne une vidéo qui résume bien leur efficacité et leur joie de créer.

    La municipalité félicite Maëlle et Antonin pour cette union officialisée et souhaite beaucoup de succès à leurs entreprises.

  • Olivier Cain et Julien Le Naour sur la Dordogne Intégrale

    La 12e édition de la Dordogne Intégrale, une course de 130 km sur un des plus beaux cours d’eau du pays, s’est tenue samedi 11 septembre entre Argentat (19) et Castelnaud-la-Chapelle (24). L’événement, organisé par l’Argentat Dordogne CK, était cette année support des premiers championnats de France Ultra.

    Initialement prévue en mai, la Dordogne Intégrale a été repoussée de quatre mois en raison du contexte sanitaire du printemps dernier. Samedi 11 septembre, ils étaient 282 participants dont un bon tiers sur des Stand Up Paddle, et les autres en canoë, kayak et pirogue. Plusieurs spécialistes de la (très) longue distance étaient sur la ligne de départ samedi aux aurores à Argentat. Ainsi qu’un grand nombre d’amoureux venus en prendre plein les yeux, et les bras.

    Le parcours a traversé les 3 départements de la Corrèze, le Lot, et la Dordogne sur 130 km linéaires de rivière, sans aucun portage. Avec dans le menu : gorges sauvages, falaises calcaires, châteaux médiévaux, villages haut-perchés…

    Parmi les sportifs connus, Olivier Cain et Julien Le Naour en stand up paddle

    Olivier Cain, président du Canoë Kayak Club Vallée du Dropt termine 16ème sur 52 à l’arrivée en 11h41. Julien Le Naour, ex président du Canoë Kayak Club Vallée du Dropt, avec le dossard 189, réalise une belle performance malgré sa déception et termine 4ème au championnat de France paddle longue distance en 10h25. Il raconte cette course qu’il a déjà expérimentée :

    « Encore une sacrée expérience sur les 130 km de la Dordogne Intégrale cette année !

    C’était l’année ou jamais, alors j’ai tenté ma chance. J’ai joué et je n’ai pas gagné. Pour la première fois, j’ai voulu accrocher un résultat en plus de la performance de finisher (qui reste une satisfaction personnelle). Les premiers 70 km se sont plutôt bien passés malgré 6 chutes (rien que ça…),le seigneur de l’épreuve 🤴 Dode Florent 🥇m’a même laissé faire quelques petits kilomètres devant lui en début de parcours… Et puis j’ai traversé le désert, en paddle, pendant 50 km environ. Un long moment d’introspection… A partir du km 90, j’ai cédé la 2° place puis la 3° sans trouver les ressources de batailler. J’ai enfin retrouvé de l’énergie sur les 10 derniers km mais les jeux étaient faits… Je termine 4ème à 20 secondes du troisième après 10h25 de rame.

    J’en retiens une expérience différente avec toujours le même plaisir de la mise en route silencieuse du matin🌃 et surtout le partage avec ce petit milieu d’initiés🍷.

    J’ai une pensée particulière pour mon père (qui a passé 24h à me faire l’assistance), mes 2 clubs dont les présidents/amis ont particulièrement participé au partage du plaisir Olivier Cain et Christophe Mora et à ma petite famille😘 ! »

  • URBEX 3 est en ligne … tourné dans l’ancienne maison de retraite de Miramont de Guyenne …

    Photo de la journaliste Carine Caussieu pour le journal Sud-Ouest du 28 août 2021.

    Cet épisode URBEX 3 est très justement baptisé EHPAD

    Toujours dans le but de réhabiliter des lieux désaffectés,  JARH – Aurélien Jollis, employé municipal à La Sauvetat du Dropt – et son beau-frère JAS nous entraînent cette fois-ci dans l’ancienne maison de retraite de Miramont de Guyenne dont l’intérieur est en cours de démolition…  Lits médicalisés alignés et abandonnés, couloirs interminables, minables et vides, balcons démolis … imaginer que nos anciens vivaient dans cet établissement encore il y a peu donne des frissons !

    Interrogés fin août par la journaliste Carine Caussieu venue en reportage pour le journal Sud-Ouest, nos rappeurs ont expliqué rechercher des endroits glauques pour leur redonner vie grâce à la musique. Et bien, c’est une fois de plus gagné avec ce troisième URBEX ! Nous attendons impatiemment la sortie de l’URBEX 4 dont le tournage est prévu dans « la maison de l’horreur » !…

     

  • Le projet URBEX, une histoire de famille pour Les As du Mic !

    Les rappeurs des As du Mic sont Jarh, employé municipal à La Sauvetat du Dropt, et Royal Rimeur. Deux frangins, rejoints quelque fois par Jasm1, leur beau-frère. Ce projet URBEX, c’est une idée qu’ils ont eu en tombant par hasard sur une épave de bus stationnée en bord de route. Connaissant d’autres lieux de ce même genre, des lieux abandonnés désaffectés, des ruines de bâtiments, ils ont décidé de les sortir de l’oubli ou de les réhabiliter pour en faire une série de sons intitulé URBEX.

    Aurélien Jollis Alias Jarh explique :

    « Chaque morceau doit être court mais efficace avec un espacement de deux semaines maximum entre chaque numéro de la série. Les textes sont écrits en rapport avec le lieu sélectionné et son environnement.
    Pourquoi choisir des endroits parfois glauques ? Dans la musique on aime bien ça, vieux hangar ou vieille usine désaffectée. C’est complètement détruit, à l’abandon mais on peut dire que par la musique, on redonne un peu de vie à ces sites pourtant déserts et oubliés du grand public. »

    Une série que nous allons suivre à n’en pas douter. Existe-t-il un lieu à La Sauvetat du Dropt en Lot-et-Garonne ? Aurélien, qui travaille dans le village en semaine, a déjà quelques idées à ce sujet … En attendant, UXBEX 1 est donc tourné dans un bus abandonné et URBEX 2 autour d’une piscine qui fut très certainement luxueuse à ses débuts. Grâce à Jarh et Jasm1, un véhicule et un lieu aujourd’hui sortis de l’oubli.

  • Mario Bros et Fifi Brindacier de passage dans le village !


    Aperçu dans le village de La Sauvetat du Dropt samedi 7 août à l’occasion de la Fête Votive enrichie d’un petit défilé inopiné de solex et autres mobylettes anciennes, le couple Pénicaud de l’épicerie P’tit Panier du Dropt en Fifi Brindacier et Mario Bros 😉

    On aime les mines réjouies de notre épicière et de son mari qui croquent la vie à pleine dent tout en étant très actifs dans ce petit, mais néanmoins très achalandé, commerce de proximité.

     

  • Journée colorée avec les peintres de Couleurs d’Aquitaine

    Nombreuses photos de Francis Secco, Alain Bartolo et Yves Pénicaud.

    Grâce à l’Association Couleurs d’Aquitaine basée à Pessac en Gironde, les Amis de la Sauveté accueillaient samedi 7 août, pour une seconde édition, le concours de peinture et de dessin dans les rues du village et dans le cadre de la Fête Votive du Comité des Fêtes.

    Ce concours gratuit invite les artistes de tout âge et tout niveau à sortir de leur atelier et à venir peindre en extérieur. Ces journées sont l’occasion de découvrir ou de redécouvrir notre patrimoine et de rendre hommage, aux bâtisseurs de monuments et d’habitations.

    Ils étaient 20 adultes, ados et enfants à participer. Les membres du jury appelés par Les Amis de la Sauveté étaient Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau et deux sauvetatois : Anaëlle Meyer, étudiante en photographie et Manu Henrion, artiste peintre.

    Résultat du concours 2021 par catégorie

    Enfant de 7 à 9 ans : Victoire Fleury pour « Mon arbre »
    Enfant de 10 à 12 ans : Shelly Ziegler pour « L’église »
    Adolescent de 13 à 15 ans : Loup de Casamayor pour « Le Dropt »
    Adolescente de 16 à 18 ans : Mila Adam pour « Voyage à La Saivetat »
    Adulte débutant : Marie Serre
    Adulte confirmé aquarelle / lavis : Jean-François Kotarski pour « Vue sur La Sauvetat »
    Pastel sec, craie, crayon de couleur, dessin à la pointe : Annie Dufour pour « Reflets du port »
    Adulte confirmé technique mixte : Sandra Labeau pour « La Salvetat-du-Dropt »
    Prix Sennelier « interprétation singulière du paysage » : Eddy Bonnot pour « En direction du pont »
    Prix le géant des beaux-arts « coup de cœur » : Jean-François Kotarski pour « Vue sur La Sauvetat »
    Prix canson aquarelle : Jean-Louis Giron pour « Le passé réuni »

  • Annulation des Soirées Gourmandes de l’été


    En raison de la mise en place du Pass Sanitaire instauré par le gouvernement depuis le lundi 9 août, le bureau du Comité des Fêtes a décidé d’annuler les prochaines dates de Soirées Gourmandes prévues les vendredis 13, 20 et 27 août ainsi que le vendredi 3 septembre qui devait être musicalement animé par un groupe du choix de Staccato.

    Peter Cain, président du Comité des Fêtes et Jean-Luc Gardeau, Maire de la commune, regrettent cette décision. Mais, le contrôle du Pass Sanitaire est autant difficile à gérer au niveau des visiteurs qu’au niveau des restaurateurs et bénévoles de l’association.

  • Succès du week-end festif aux animations diverses et variées

    Nombreuses photos de Francis Secco. Quelques-unes du responsable pétanque Alain Bartolo, d’autres encore glanées ici et là. 

    Après bien des incertitudes dans l’attente des décisions gouvernementales finales, la Fête Votive du Comité des Fêtes, en partenariat avec les associations sauvetatoises, a finalement eu lieu. Da la Soirée Gourmande du vendredi au vide-greniers du dimanche, toutes les activités connurent un franc succès. Est-il permis de penser que l’échéance du pass sanitaire devenant obligatoire lundi 9 aura incité les gens à profiter de ces quasi derniers moments de liberté ?

    Pas de surprise pour la foule venue se régaler et danser à la soirée gourmande de vendredi. On sait que la magie du lieu, la bonne chère et l’esprit guinguette sont des plus appréciés ! Samedi matin, Martine des Amis de la Sauveté et les responsables de l’Association Couleurs d’Aquitaine inscrivaient une vingtaine de peintres ou dessinateurs adultes et enfants au concours se déroulant dans les rues du village. Plus tard, Alain, notre marseillais local, accueillait les pétanqueurs amateurs pour des parties à la mêlée. Bonne participation bien qu’il fut nécessaire de chercher un abri en raison d’une averse orageuse en début d’après-midi. Dans le même temps, la salle des sports recevait la famille des joueurs d’Accordons-nous venue déballer de nombreux jeux de société disponibles gratuitement jusque tard dans la soirée. Hugues, professionnel du jeu, passait de table en table pour expliquer les règles de chacun des jeux choisis par les nombreux participants.

    En soirée, sous le soleil revenu, le Comité des Fêtes proposait un repas sans prétention près du kiosque associatif de la Prairie des Croquants animé par Aurélien des As du Mic.

    Dimanche, dès 5h du matin, l’équipe chargée de la vente au déballage était sur le pied de guerre pour installer plus d’une centaine de stands dont certains venus parfois de loin : Haute-Vienne, Gers ou encore des Landes. Les visiteurs agréablement surpris de l’importance de la manifestation purent chiner à loisirs. A 8h30, les randonneurs pédestres avec Dino et cyclistes avec Paulo prenaient qui les chemins, qui les routes pour des circuits respectivement de 8 ou 60 km. Et dans l’après-midi, les Accordons-nous dans la salle des sports largement ouverte sur l’extérieur offraient de nouveau un imposant éventail de jeux de société.

    Le mot du président Peter Cain

    Peter Cain, président du Comité des Fêtes, remercie les bénévoles des associations de leur participation. Force est de constater que les effectifs sont en baisse après cette année 2020 marquée par des restrictions COVID ayant empêchées toutes manifestations. Peu de jeunes, bien que les présents soient motivés et très actifs. Moins d’anciens, peut-être par crainte du virus ou par lassitude. Mais l’ambiance reste conviviale et chaleureuse se dont se félicite Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau ayant passé, lui aussi, de nombreuses heures au service de la buvette.

    Annulation des Soirées Gourmandes

    En revanche, puisque le pass sanitaire est maintenant obligatoire et que les contrôles sont difficiles voire impossibles, le bureau du Comité des Fêtes et le Maire ont pris la décision, à regret mais à l’unanimité, d’annuler les Soirées Gourmandes de l’été.

    Concours de Peintres – Photos
    Vide-greniers / Brocante – Marche, jeux de société et pétanque – Photos
  • Les As du Mic et leurs potes ont embrasé le dancefloor de la Soirée Gourmande

    Une soirée gourmande avec animation musicale très locale

    Peter Cain et Alain Crossoir, responsables du Comité des Fêtes de La Sauvetat du Dropt, invitaient Aurélien, jeune employé municipal de la commune, à animer la Soirée Gourmande du vendredi 30 juillet avec son groupe de rap Les As du Mic et d’autres musiciens de leurs amis.

    Si la soirée commençait en douceur avec un chansonnier puis une guitariste, les rappeurs des As du Mic réveillaient le public dès 21h qui s’approchait près du dancefloor pour tendre l’oreille aux paroles scandées par Jarh et Royal Rimeur. Finalement, le plancher était largement occupé par les danseurs. La soirée se poursuivait par une troupe de chanteuses reprenant des tubes actuels.

    Après le passage des groupes, Aurélien et ses amis voyant les visiteurs joyeux et motivés, décidaient de passer quelques musiques des années 80, rajoutant à l’enthousiasme ambiant.

    Une soirée que Les As du Mic ont eux aussi grandement appréciée puisque c’était la première depuis les longues semaines de confinement. Ils remercient le Comité des Fêtes et répondront présents aux prochaines invitations.

    Le projet URBEX des As du Mic, une histoire de famille

    Les rappeurs des As du Mic sont Jarh et Royal Rimeur, deux frangins, rejoints quelque fois par Jasm1, leur beau-frère. Ce projet URBEX, c’est une idée qu’ils ont eu en tombant par hasard sur une épave de bus stationnée en bord de route. Connaissant d’autres lieux de ce même genre, des lieux abandonnés désaffectés, des ruines de bâtiments, ils ont décidé d’en faire une série de sons intitulé URBEX.

    Aurélien alias Jarh explique :

    « Chaque morceau doit être court mais efficace avec un espacement de deux semaines maximum entre chaque numéro de la série. Les textes sont écrits en rapport avec le lieu sélectionné et son environnement.
    Pourquoi choisir des endroits parfois glauques ? Dans la musique on aime bien ça, vieux hangar ou vieille usine désaffectée. C’est complètement détruit, à l’abandon mais on peut dire que par la musique, on redonne un peu de vie à ces sites pourtant déserts et oubliés du grand public. »

    Une série que nous allons suivre à n’en pas douter. Existe-t-il un lieu dans le village de La Sauvetat du Dropt ? Aurélien qui y travaille en semaine a peut-être déjà une idée à ce sujet …