• Stage USEP pour obtenir l’agrément avant la Ronde cycliste 2022

    Explication de Sylvie Chambolle, sauvetatoise et institutrice à l’école de Seyches.

    L’USEP 47 organisait un stage à Miramont de Guyenne pour faire passer les agréments cyclo aux parents qui accompagneront les classes de la Ronde Cycliste 2022. 90 stagiaires sur leur vélo séparés en 3 groupes étaient encadrés par les bénévoles USEP et les conseillers pédagogiques.
    Puisqu’elle est sauvetatoise, Sylvie Chambolle, en charge des parcours de 15, 22 et 27 km décidait de faire découvrir son village aux cyclistes en arrivant par le Pont Roman.

  • Cérémonie du 11 novembre, coquelicots à la boutonnière

    Respect du devoir de mémoire à La Sauvetat du Dropt en ce jeudi 11 novembre.

    Autour du Maire Jean-Luc Gardeau, très peu de conseillers municipaux, et c’est dommage, quelques familles avec leurs enfants, des anciens du village, toujours fidèles et la communauté britannique bien représentée. A leur boutonnière ou imprimé sur un foulard, le coquelicot, équivalent du bleuet en France.

    Bleuet et coquelicot

    Comme le Bleuet en France, le coquelicot est avant tout un symbole pour se souvenir des combattants de la Grande Guerre. En effet, c’est un poème de l’écrivain canadien John McCrae qui aurait inspiré la tradition. Datant de 1915, le poème In Flanders Fields – ci-dessous – raconte qu’après la guerre, les coquelicots fleurissaient sur les tombes des soldats à travers toute l’Europe.

    « John McCrae était un médecin militaire canadien. Il aurait écrit ce poème le 2 mai 1915 durant la bataille d’Ypres. La légende dit qu’il l’aurait composé en vingt minutes dans un abri en attendant les blessés. Devenu célèbre dans les pays du Commonwealth, ce poème a associé pour toujours l’image des coquelicots au souvenir des morts tombés au champ d’honneur. Voici la version originale et sa traduction française officielle. »

    In Flanders fields

    In Flanders fields the poppies blow
    Between the crosses, row on row
    That mark our place; and in the sky
    The larks, still bravely singing, fly
    Scarce heard amid the guns below.

    We are the dead. Short days ago,
    We lived, felt dawn, saw sunset glow,
    Loved and were loved and now we lie
    In Flanders fields.

    Take up our quarrel with the foe:
    To you, from failing hands, we throw
    The torch; be yours to hold it high.
    If ye break faith with us who die
    We shall not sleep, though poppies grow
    In Flanders fields.

    Au champ d’honneur

    Au champ d’honneur, les coquelicots
    Sont parsemés de lot en lot
    Auprès des croix; et dans l’espace
    Les alouettes devenues lasses
    Mêlent leurs chants au sifflement
    Des obusiers.

    Nous sommes morts,
    Nous qui songions la veille encor’
    À nos parents, à nos amis,
    C’est nous qui reposons ici,
    Au champ d’honneur.

    À vous jeunes désabusés,
    À vous de porter l’oriflamme
    Et de garder au fond de l’âme
    Le goût de vivre en liberté.
    Acceptez le défi, sinon
    Les coquelicots se faneront
    Au champ d’honneur.

  • L’ASSA s’offre un grand cru !

    Commentaire de match de Laurent Bèze, co-président de l’ASSA Pays du Dropt.

    Samedi 6 novembre, ASSA 1 – ST EMILION 2

    La défaite à GENSAC a fait mal aux têtes et plongé l’équipe à la dernière place !

    La réception de ST EMILION, autre mal classé, était donc déjà un match charnière. La défense en difficulté depuis le début de saison inquiète avec 14 buts encaissés en 5 matchs. Même si les bonnes prestations en coupe de France laissent espérer des jours meilleurs, il ne faut pas oublier que CROUZET, qui a pris place en défense centrale, n’a que 17 ans. Mais de match, il n’y aura pas, car les ASSAïSTES n’auront laissé aucune chance à une faible équipe de ST EMILION.
    ZAIDA et MILOCHEVITCH par 2 fois puis Clément COMBAUD porteront le score à 5-0 à la mi-temps. La seconde mi-temps sera maîtrisé et moins intense mais l’ASSA rajoutera 2 buts supplémentaires pour un score final de 7-0.

    Match sérieux et appliqué qui permet de se replacer à la 8ème place avec un match en moins et même 2 matchs sur certaines équipes. Mais tout reste très serré et il faudra enchaîner les bons résultats pour s’éloigner définitivement de la zone rouge.

    L’équipe : MARTIN – COMBAUD – LABORDE – MORANDEAU – CROUZET – SAVIGNY – VINCENT – COMBAUD (C) – MILOCHEVITCH – ZAIDA – LARGE Remplaçants : HANTUTE – MAURY – FAYARD

    Autres résultats

    L’équipe 2 sombre une nouvelle fois à CASTELMORON 5-2. La situation est critique pour cette équipe qui ne répond plus

    L’équipe 3 concède le nul à domicile face à HOUEILLÈS

  • Superbe match des U15 contre la puissante équipe du Passage

    Commentaire et photos de match de Sam Carroll, père de Linky, n°7 pour ce match !

    « Un bel effort durant tout le match de toute l’équipe des U15 de Val du Guyenne samedi 23 octobre contre Le Passage d’Agen. Une victoire de 3-1 contre un adversaire qu’ils n’avaient jamais affronté auparavant et qui, à première vue, aurait pu être très intimidant. Les Violets ont su garder leur sang-froid et ont parfaitement mis en œuvre le plan de match engendrant une grande frustration du côté de leurs adversaires. Une belle performance dans l’ensemble et un superbe 3 buts pour Antoine ! Bravo l’équipe et merci beaucoup aux coaches Matheo et Mathieu!!!

    Allez Violette !!! »

    « A wonderful effort for the entire match by the Val du Guyenne team on Saturday against Passage. A win of 3-1 against an opponent that they haven’t previously faced and that on first impressions could have been very intimidating. Violet maintained their composure and implemented the game plan perfectly to the frustrations of their opponents. A great performance all round and a superb 3 goals to Antoine! Bravo l’équipe et merci beaucoup à Matheo et Mathieu !!!

    Allez Violet !!! »

  • CCPL 47, résultats du Concours Contes et Nouvelles

    Photos de Élodie Privat, responsable du site web de la Communauté de Communes du Pays de Lauzun.

    La Communauté des Communes du Pays de Lauzun organisait vendredi 8 octobre, la 18ème cérémonie du Concours de Contes et Nouvelles à la salle des fêtes de Saint Colomb de Lauzun, en présence du Président de la CCPL 47, Émilien Roso, et de Cécile Richard, adjointe à la Mairie de Miramont de Guyenne et vice-présidente intercommunale de la commission culture.

    Monsieur Thierry GIANELLO, Conseiller Pédagogique de circonscription à l’Inspection Académique de Lot-et-Garonne, connu et reconnu pour son implication associative et ses réalisations artistiques (théâtre, musique…) a fait l’honneur d’être le « Conteur » pour cette manifestation qui se veut être chaque année une fête populaire de l’écriture et de l’expression.

    Le thème choisi était l’arbre. Dès l’âge de 7 ans, il était possible de participer à ce concours ouvert aux primaires, collégiens, lycéens et adultes qui ont pu imaginer leur récit entre les mois de mars et de juin.

    Les noms des lauréats ayant remportés Le Lauzun d’or, d’argent ou de bronze sont à consulter en cliquant sur CLASSEMENT FINAL DU CONCOURS DE CONTES ET NOUVELLES 2021

  • Bienvenue aux nouveaux Gavaches …

    Visite du village des Gavaches 2019

    Gavaches lors de la visite du village – 2019

    Monsieur le Maire rencontre régulièrement les nouveaux résidents de la commune. Des familles avec enfants ou adolescents, de jeunes retraités. Parmi les nationalités, des pays déjà connus comme le Royaume-Uni, les Pays-Bas ou la Belgique et pas plus tard qu’hier, un pays encore absent parmi les nombreux enregistrés dans le village : Israël.

    Bienvenue aux Gavaches

    Une explication s’impose pour ce nom de Gavaches que nous donnons systématiquement aux nouveaux résidents de la commune.

    Au XVème siècle, suite aux guerres, aux épidémies de peste ou dans le cas de La Sauvetat, suite à une famine, les Seigneurs locaux se retrouvaient avec des moulins, des forges et des terres sans main d’œuvre. De ce fait, ils faisaient appel à de la main d’œuvre étrangère que l’on nommait à cette époque « Gavaches » mis pour « gens venus d’ailleurs ». Cette population ne venait en fait que des régions voisines, de Vendée, de Poitou ou de Charentes. Ils parlaient un patois différent et ont amené avec eux des coutumes ou une architecture que l’on peut retrouver par exemple dans les puits Gavaches visibles ça et là au gré des petites routes de nos campagnes. A La Sauvetat, un puits Gavache est à découvrir au cour de la Balade du Pont Roman.

    Comme le dit Jean-Luc Gardeau, Maire du village :

    « L’Histoire ne fait que se perpétuer aujourd’hui avec l’installation de gens de divers horizons. Aujourd’hui, ils ne répondent pas à l’appel à l’aide des Seigneurs d’autrefois mais viennent pour le plaisir qu’amènent les degrés du soleil et du bon vin, les odeurs de la campagne et des mets savoureux, la chaleur humaine des poignées de main et des bonjours.

    Soyez les bienvenus à La Sauvetat du Dropt. »

    Gavaches : why do we call new inhabitants like that ?

    At the end of the XVth century, a 7-week freeze blocked up all the rivers and destroyed the crops, wheat and grapes. The following year, many of the inhabitants died of hunger. The number of death was so high that an influx of people was necessary ! This was known as the arrival of the « Gavaches », meaning the « people who have come from elsewhere ». This population came in fact from close regions ie Vendée, Charentes or Poitou. Their language was a little different and they brought with them other customs or an architecture that can be found for example with the Gavaches wells. You could discover one of these wells during the walk around the village called Balade du Pont Roman.
    As Jean-Luc Gardeau, Mayor of the village says :

    « History is nowadays perpetuated with the arrival of people from different backgrounds. Nowadays, they do not respond to the call for help from the lords of old but come for the pleasure afforded by the sun’s rays and the good wine, the smell of the countryside and the tasty cuisine, the human warmth of handshakes and greetings.

    Be welcome in La Sauvetat du Dropt »

    Une visite et un pot d’accueil programmés pour 2022

    La municipalité ne manquera pas d’inviter ces nouveaux arrivants pour une visite guidée du village et un pot de bienvenue au cours de l’année 2022.

  • Coupe de France de football, exploit de l’ASSA 1 face aux joueurs de St Jean D’Angély

    Crédit photo : Sébastien Maurès

    Samedi 2 octobre, le stade de La Sauvetat du Dropt accueillait les supporters de l’ASSA 1 venus nombreux encourager les rouges pour un 4ème match en Coupe de France face à l’équipe 1 de Saint Jean-d’Angély (17).

    Deuxième exploit pour les Assaïstes

    Sur la page Facebook du groupe ASSA Pays du Dropt, les commentaires sont enthousiastes :

    « Vrai match de coupe avec une très grosse intensité. Début de seconde mi temps, les visiteurs ouvrent le score et nos petits rouges égaliseront à la 75ème. Aux tirs aux buts nos petits rouges ne trembleront pas et réussiront un 3 sur 3 tandis que nos adversaires rateront 3 de leur 4 tirs aux buts grâce à un Anthony Locatelli en feu !

    Direction le 5ème tour pour ce groupe qui continue de nous surprendre. A confirmer dès samedi 9 octobre en championnat pour enfin lancer la saison.

    Buteur : Cyril Zaida

    Merci aux supporters d’avoir répondu présent et pousser les joueurs jusqu’à la qualification ! Allez l’ASSA ! »

    Résumé sportif du match sur Le Petit Bleu, article du 4 octobre 2021.

  • Jarh, Jas & Anonymous présentent URBEX 4 tourné dans « la maison de l’horreur » …

    Les tournages de la série URBEX se poursuivent. Aurélien Jollis alias Jarh, employé municipal de la Sauvetat du Dropt en semaine et rappeur avec son groupe Les As du Mic le week-end nous fait part de ce nouveau numéro de la série qui veut réhabiliter des bâtiments abandonnés. Sur cet URBEX 4, un invité masqué est à découvrir…

  • DROPT’ART, visite des deux ateliers de peintres sauvetatois, Audrey Bastard et Manu Henrion

    Samedi 25 septembre, avec Jean-Luc Gardeau et son épouse, je pars visiter les ateliers des peintres sauvetatois prenant part à l’itinérance artistique de la semaine DROPT’ART.
    Ces deux artistes, Audrey Bastard et Manu Henrion, ne se connaissaient pas avant de s’implanter dans le village de La Sauvetat du Dropt, au lieu-dit Peyronnette. Maintenant voisins, c’est tout naturellement qu’ils ont échangé sur leur travail d’artiste et que Manu incitait Audrey à faire découvrir son travail au cours des dix jours de balades en Pays du Dropt.

    AUDREY BASTARD

    Le premier atelier visité fut celui de AUDREY BASTARD. Déjà en pleine conversation avec un amateur de peinture, Audrey, au regard bleu azur, nous recevait en jeans, blouse et boucles d’oreilles aussi colorées et gaies que ses tableaux. Très peu de figuratif, surtout de l’abstraction, et libre aux visiteurs d’y découvrir des personnages ou des paysages, car la fluidité de l’encre suggère à chacun de s’imaginer une histoire derrière la libre expression d’Audrey. Suivant le grain, plus ou moins fin, ou suivant la texture du support plus ou moins absorbante, son travail est à la fois technique et ludique.

    Bien qu’elle ait commencé sa carrière d’artiste par la sculpture, Audrey, victime de grave maladie, a dû abandonner les volumes pour s’adonner à la peinture et au dessin. Une évidence lorsque dans son coma, elle avouera plus tard avoir littéralement intégré, “comme si elle avait été inondée de chaque œuvre”, les grands maîtres peintres et photographes qu’elle avait étudiés et aimés depuis l’enfance.

    Il en résulte dès le début de son difficile réveil, un attrait immédiat pour la couleur avec la réalisation de petites peintures carrées, aujourd’hui marouflées sur Médium (mdf). Puis durant les épreuves de sa longue convalescence, elle développe en parallèle deux petites pratiques, faciles à mettre en œuvre quelles que soient ses conditions de santé.

    S’ensuit un travail en noir et blanc où l’encre de Chine intensifie les contrastes et les gestes du dessin au pinceau, puis un travail d’expressions et techniques libres dans un journal de bord.
    Il en découle une très grande diversité de graphismes, une foisonnante liberté, une énergie follement colorée et un goût certain pour les encres de toutes sortes avec lesquelles elle peint et joue aujourd’hui. Quelles que soient les épreuves, Audrey cherche à les sublimer au travers de sa peinture.

    Une rencontre riche en émotions. Le partage d’une expérience douloureuse pour comprendre le chemin parcouru et ce besoin d’expression visible dans ces belles créations que vous pourrez découvrir à votre tour si vous contactez Audrey via labomarto@audreybastard.fr

    Photos des journaux de bord de la collection personnelle de l’artiste.

    MANU HENRION

    Second atelier, de l’autre côté de la route, dans une maison cubique d’allure ultra moderne bâtie autour de l’atelier de l’artiste, nous étions reçus chez MANU HENRION. Ce Belge installé avec son épouse dans le village depuis quelques années est toujours resté discret quant à ses activités artistiques avant d’accepter de participer à l’itinérance DROPT’ART.
    Nous entrons dans sa maison par l’entrée où sont accrochées de grandes toiles, là aussi, colorées. Sur la plupart des tableaux, une couleur domine et se décline en nuances subtiles. Des gris infinis, des bleus turquoise, des verts prairies de printemps … le style est abstrait bien que l’on y devine de vastes paysages ou des étendues d’eau aux reflets changeant, aux mouvements menaçants, surplombées de ciels chargés au travers desquels percent des rayons de lumière. Le fil conducteur en est toujours une ligne horizontale posée sur le premier tiers de l’œuvre et aussi, souvent, une touche de rouge flamboyant qui rappelle l’œil malicieux et pétillant du peintre.

    Dans cet univers cubique, nous empruntons un escalier rond en colimaçon pour parvenir à ce qui est véritablement l’atelier de l’artiste. Atelier où de grandes baies vitrées font jouer la lumière sur de nombreuses œuvres exposées aux murs et sur des tables. Des peintures acryliques et des pastels. Tout en discutant à bâton rompu, Manu Henrion propose une démonstration de pastel. Sur un petit papier carré au grain prononcé provenant des papeteries du Moulin de Larroque en Dordogne, la main est sûre et le geste précis. D’autant plus que ce travail, qu’il va offrir à Madame Gardeau, raconte, avec tout l’humour qui le caractérise, leur première rencontre dans le village. Contact mouvementé pour ne pas dire houleux au sujet d’une place de parking ! Histoire retranscrite au pastel qu’elle ne pourra pas oublier !
    Pour moi, un ancien grément toutes voiles gonflées prend le large. Au centre de la ligne horizontale de départ, une virgule rouge vermillon qui signale, au choix, le point d’ancrage quitté, le pompon du marin ou peut-être un avertissement à ne pas se fier au calme apparent de la mer qui semble, là, apaisée …

    Bien que Manu Henrion ait reçu une petite centaine de personnes au cours de ces 10 jours DROPT’ART, nous sommes seuls à ce moment-là et avons le privilège de partager un verre au comptoir de sa cuisine. Un autre espace de la maison où l’on prend conscience de l’échange permanent de l’artiste avec la nature. A travers une large baie vitrée se déploie un immense parc de verdure. Quelques arbres et posée au sol, une sculpture de métal rouillée que l’on dirait représenter un château fort aux murailles crénelées.

    Un grand merci pour cette intrusion dans votre univers d’artiste. La porte de l’atelier de Manu Henrion reste ouverte à qui le souhaite. Il suffit de prendre rendez-vous sur la page ad hoc de son site. Vous pouvez également suivre l’actualité de ses expositions sur sa page Instagram.

    Photos des tableaux seuls de H-uman.

     

  • DROPT’ART, visites d’ateliers d’artistes en Pays du Dropt

    Photo de l’affiche DROPT’ART créée par Manu Henrion, artiste peintre de La Sauvetat du Dropt.

    Dix jours de balades en pays du Dropt, sur nos routes de campagne, au cœur de 13 villages et bastides, du 17 au 26 septembre au rythme de 14 ateliers d’artistes et 7 lieux d’expositions, vous y rencontrerez les 56 artistes et découvrirez leurs œuvres, leurs techniques, leur univers.

    Pour la troisième année, les artistes du pays du Dropt : peintres, sculpteurs, photographes, tisserande, dessinateurs, plasticiens vous invitent à découvrir leurs lieux de créations, leurs différentes démarches artistiques, leurs invités en ouvrant leurs portes et en s’associant à des lieux de culture et du patrimoine.

    Le florilège vous permet de rencontrer une œuvre de chaque artiste du parcours sur trois jours dans le village de Monteton.

    Vendredi 17 septembre : Ouverture du Dropt’Art avec le vernissage du florilège à 18h30 au Bourg de Monteton.
    Samedi 18 et dimanche 19 septembre : Florilège de 10h00 à 19h00 au Bourg de Monteton.
    Du samedi 18 au dimanche 26 septembre : Ouverture des ateliers d’artistes et des lieux d’expositions, tous les jours de 10h00 à 19h00. Entrée libre et gratuite.

    Des vernissages, des rencontres, des ateliers découvertes (adultes et enfants) et des concerts sont programmés sur les différents sites tout au long de la manifestation (voir dépliant ou site).

    Contact : dropt.art.ateliers@gmail.com – 06 49 11 50 32 / 06 74 54 54 03
    https://droptartateliers.wixsite.com/artistes/ ou https://www.facebook.com/visitesdateliersdartistes

    Parmi les 56 artistes qui ouvrent leur atelier, deux sauvetatois

    Manu HENRION et Audrey BASTARD sont tous deux sauvetatois et se sont rencontrés parce qu’ils sont voisins. Leur maison respective se situent au lieu-dit Peyronnette, sur les hauteurs du village. Ils ouvriront tous deux leur atelier lors de ces journées DROPT’ART. Entrée libre.

    MANU HENRION, peintre pastelliste abstrait, il ouvrira son atelier et travaillera le pastel en direct.

    Naissance en 1951. Études en arts graphiques I.A.T.A. Namur , Belgique. Cours de dessin, croquis et peinture à l’Académie Constantin Meunier à Etterbeek (Bruxelles) en 1980 et 1981. Diplômé de l’ Académie des Beaux Arts à Namur : Cours de peinture de et avec Jean-Pierre Gonthier de 1987 à 1988 et de 1998 à 2004. Stages avec Sébastien Delire en 2003 et 2004.​

    AUDREY BASTARD, graphiste en art contemporain.

    Née à Marseille en 1975. Elle entre successivement aux Beaux-arts de Rueil-Malmaison, Amiens et Paris dont elle obtient les diplômes. C’est au cours de cette période intensive d’étude, qu’elle voyage en Grande-Bretagne, Chine, Thaïlande, Australie, Norvège, Italie, et développe sa maturité, sa sensibilité et l’assurance d’un travail artistique précis et “abrasif”.

    Après avoir travaillé 10 ans en région parisienne, Audrey Bastard se retire dans le sud-ouest de la France afin de poursuivre sereinement son travail. Ses sculptures, dessins et installations interrogent et revendiquent le monde contemporain en y convoquant les liens physiques et émotionnels qui le relie au passé ; « ce qui fait que le monde est ce qu’il est : difficilement palpable au présent et dans lequel une mise en ordre des choses finit par nous échapper… »

    DROPT’ART, les ateliers d’artistes, l’agenda et les temps forts
  • OCTOBRE ROSE : participation à un challenge de danse en vous filmant sur Jerusalema

    Cette année, le CRCDC (Centre Régional de Coordination de dépistages des cancers) – Site territorial du Lot-et-Garonne – s’associe à Action Cancer 47 & L’Orange bleue pour vous proposer un challenge de danse à l’occasion d’Octobre Rose : le Jerusalema Dance Challenge.

    Pour participer : c’est très simple !
    D’autres actions sur le territoire

    Notamment à Miramont de Guyenne où l’on retrouve Les As du Mic à l’origine de Voca Son Association de lutte contre le cancer pour un concert le samedi 16 octobre.

  • Vie professionnelle et vie privée, tout sourit à Maëlle Valdevit, créatrice de jardins et conseillère municipale

    Photos du mariage de Maëlle par la photographe Mélanie d’Éclat d’instant. Vidéo professionnelle de Maëlle et Nadège pour Inside Outside de Mathieu Maxime Prod.

    Fin août, la Mairie de La Sauvetat du Dropt s’est vu parée de belles guirlandes naturelles et colorées annonçant l’union de deux personnalités connues dans la commune : Maëlle Valdevit, sauvetatoise depuis toujours avec son compagnon et père de leur fille Victoire, Antonin Fleury. Pour les accompagner, ses parents connus et appréciés : Hélène, cantinière à l’école du village et Serge, carreleur retraité.

    C’est avec grand plaisir que Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau, assisté par la conseillère Isabelle René, ont eu l’honneur de célébrer le mariage de Maëlle, également conseillère municipale. Maëlle, paysagiste, qui fait profiter la commune de ses compétences en créations de jardins. On lui doit les aménagements paysagers partiellement réalisés sur l’aire de camping-car, devant la mairie ainsi que pour le projet en cours, celui de la Place du Prieuré.
    Depuis quelques années, elle collabore avec Nadège Lara qui imagine vos intérieurs. Une complémentarité qui plaît car ces « deux nanas dynamiques et pleine d’énergie » sont très à l’écoute de leurs clients. Elles viennent de mettre en ligne une vidéo qui résume bien leur efficacité et leur joie de créer.

    La municipalité félicite Maëlle et Antonin pour cette union officialisée et souhaite beaucoup de succès à leurs entreprises.