• Un bon coup de fourchette pour le Jimboura des Amis de la Sauveté

    Photos de Martine Brosse, trésorière de l’association, responsable du Point Lecture et conseillère municipale.

    Malgré des annulations de dernière minute en raison de covidés tout juste déclarés, Jacques Foglia et son groupe des Amis de la Sauveté ont accueilli 46 convives ce samedi 5 mars autour d’un repas de saison à base de cochon. Parmi eux, le Maire Jean-Luc Gardeau et son premier adjoint Germain Sauron.

    Depuis la soupe de légumes appelée Jimboura, en passant par le boudin frais ou grillé jusqu’au savoureux rôti de porc servi avec une généreuse sauce de tomates et d’oignons, tout le menu rappelait les traditions de l’hiver dans nos campagnes du sud-ouest.

    C’est en hiver, en effet, que se tuait le cochon de la ferme familiale. Et c’est dans l’eau de cuisson du boudin que l’on ajoutait des légumes qui une fois cuits devenaient le fameux Jimboura.
    Le soir, tous les voisins venaient prendre un morceau de boudin, délicieux quand il est frais, ainsi qu’une soupière de Jimboura et chacun à leur tour, quand ils tuaient le cochon, rendaient la pareille… c’était quasiment chaque semaine des mois d’hiver. Une tradition perdue qui permettait de garder de bonnes relations avec ses voisins.

    Cette convivialité qui disparaît peu à peu dans les campagnes perdure à La Sauvetat du Dropt grâce au groupe dynamique des Amis de la Sauveté qui conserve précieusement les recettes du patrimoine culinaire local. Des recettes jamais notées parce que ces dames ont gardé en tête les gestes de leur grand-mères. Mais à la demande de leur président Jacques Foglia qui lui, arrive des montagnes de l’Isère, ces recettes seront à l’avenir consignées dans un cahier qui profitera aux générations futures.

    Assemblée Générale

    Le bureau des Amis de la Sauveté, annonce que l’Assemblée Générale se tiendra le vendredi 18 mars à 20h dans la salle de la Maison des Loisirs. La population sauvetatoise est invitée, notamment les nouveaux résidents appelés Gavaches dans nos contrées, puisqu’ils seront mis à l’honneur lors d’une soirée sans frontière programmée mi-septembre dont nous reparlerons très prochainement.

     

  • Have a break in Pays de Lauzun !

    Information de l’OTPL : Fruit d’un travail d’équipe, en collaboration avec Kathya Puech Traduction (désormais traductrice professionnelle issue du BTS Tourisme de la MFR de Miramont) et la société Apsulis, toutes les informations touristiques et locales sont désormais accessibles en anglais toujours sur tous vos supports numériques : ordinateur, tablettes et smartphone.

    We are proud to announce that the website of the Pays de Lauzun Tourist Office is now available in English !

    Here are the pages you can choose
    3 Tourist Offices to welcome you in the Pays de Lauzun
    • Lauzun : on Wednesday, Thursday and Friday, from 9.00 am to 12 noon, and from 2.00 pm to 5.00 pm
    • Miramont-de-Guyenne : on Monday from 9.00 am to 12 noon, on Tuesday, Thursday and Friday from 9.00 am to 12 noon, and from 2.00 pm to 5.00 pm
    • Allemans-du-Dropt : only during the summer season, July and August.

    Brochures

    Find on this page the tourist information to prepare your guest, family or friend’s stay on our territory.

    Newsletter

    To be informed of all the news of the territory, do not hesitate to suscribe to the Pays de Lauzun newsletter … click on Newsletter ! News also available on Pays de Lauzun Facebook page.

  • Le Guide du Lot-et-Garonne donne l’envie de visiter le village


    Que vous soyez acteurs du tourisme professionnels, que vous receviez famille et amis ou que vous ayez seulement l’envie de découvrir le département, pensez à consulter le Guide du Lot-et-Garonne qui met en avant nos villes et villages avec de belles photos et des explications détaillées.

    C’est le cas pour La Sauvetat du Dropt qui avait reçu la visite de Nathalie Jouat Bontemps l’été dernier sous un soleil radieux. Le reportage est bien détaillé. Il se déroule au fil des rues et ruelles en reprenant le parcours du circuit numérique que l’on peut suivre grâce au qr code à flasher sur les panneaux disponibles aux endroits stratégiques du village.

    Visite de La Sauvetat du Dropt et son pont à 23 arches ! 

  • Inventaire des zones humides, bassin de l’Escourou et de ses affluents

    Information EPIDROPT de Marion Lainé, technicienne Zones Humides et animatrice Natura 2000 « Réseau hydrographique du Dropt ».

    « Afin de préciser l’inventaire existant des zones humides sur le bassin versant de l’Escourou et de ses affluents, réalisé par le Conservatoire d’Espaces Naturels entre 2007 et 2009, vous êtes informés que les agents d’EPIDROPT seront sur le terrain à partir du jeudi 10 février 2022. Ils prospecteront à pied le long des cours d’eau.

    Leurs véhicules stationneront à proximité du cours d’eau ou de ses affluents à vérifier. Une affiche y sera visible afin d’indiquer la mission et les coordonnées, si besoin. »

  • Histoire de la gare La Sauvetat-Agnac, épisode 3 en ligne

    La gare aujourd’hui (photos 1, 2 et 3), située sur la commune d’Agnac et carte postale de la gare dîtes de La Sauvetat du Dropt datant du début du XX° siècle..

    Rappelons comment tout a commencé

    C’est le 15 novembre 2019 que Jean-Luc Gardeau, Maire de La Sauvetat du Dropt, reçoit un appel téléphonique de Monsieur Comont, membre de l’Association « Chemin de Fer de Vendée » (CFV) dont l’un des buts premiers est la remise en état du patrimoine ferroviaire. Association basée à Mortagne sur Sèvre (85).
    Dans leurs ateliers en cours de restauration, une luxueuse Voiture Salon Pullman numérotée 4150, classée aux Monuments Historiques depuis 2003, dont l’histoire est liée à l’ancienne gare de notre village, étrangement située sur la commune d’Agnac.
    Après plusieurs échanges téléphoniques, l’idée d’un récit détaillé sur l’Histoire de la gare est née visant à enrichir les pages du site du village mais aussi à interpeller les amoureux de l’histoire ferroviaire passée, comme l’est Monsieur Comont, pour que chacun puisse partager des éléments écrits ou oraux qu’il aurait en sa possession.

    Depuis fin 2019, deux dates de rencontres ont été fixées à La Sauvetat du Dropt entre Eric Comont et Jean-Luc Gardeau auxquelles été invitées Stéphane Dusseau, responsable du Comité Archéologique d’Eymet. Deux dates prévues en 2020 mais reportées en raison des arrêtés de confinements successifs ou des différentes mesures sanitaires ! Les échanges se poursuivent cependant, par téléphone ou par mail permettant de mettre en ligne aujourd’hui le troisième épisode de l’histoire de la gare et du chemin de fer dans notre région …

    Depuis ces premiers échanges, à l’occasion de sa retraite, le Conseil Municipal décidait d’offrir au Maire Jean-Luc Gardeau une balade en train-restaurant à bord d’une voiture des Grands Express ayant parcouru l’Europe dès la fin du XIX° siècle. Balade programmée au printemps 2020 mais repoussée en mai 2021 pour les raisons sanitaires que l’on sait ! Quoiqu’il en soit, le couple officiel est revenu enchanté de l’escapade, Monsieur le Maire ayant eu le privilège de visiter les ateliers de restauration où se trouvent la 4150 par l’entremise de Monsieur Comont qui n’avait pu se libérer ce jour-là.

    Aujourd’hui, nous savons, grâce à Monsieur Comont toujours, qu’une machine à vapeur est en cours de restauration dans les ateliers du CVF et devrait être remise en service en juin 2023. Quant à la 4150, les travaux ont repris depuis juin sur le volet électrique et le freinage. Un travail gigantesque mené par des bénévoles passionnés âgés de 14 à 80 ans que vous pouvez voir sur le site du Chemin de Fer de Vendée


    Mise en ligne de l’Épisode 3, rappel des épisodes précédents
    • L’épisode 1 portait sur la gare de La Sauvetat et son exploitation ferroviaire;
    • L’épisode 2 expliquait les circulations sur les lignes et en gare à la veille de la seconde guerre mondiale;
    • L’épisode 3 nouvellement mis en ligne porte sur la signalisation et le matériel roulant.
    Remerciements

    Monsieur Gardeau et son Conseil Municipal remercient chaleureusement Monsieur Comont pour ce fastidieux travail de recherche et la mise en page de l’histoire de notre gare et du chemin de fer en général. Un travail précieux que nous prenons plaisir à découvrir et que nous archivons pour permettre aux passionnés d’histoire de trouver là matière à s’enrichir.

    Nous espérons vivement le recevoir en 2022.

  • Pêle-mêle de la semaine du côté de la municipalité et des associations

    Voilà des informations que nous ne pouvons développer pour le moment. Par manque de précisions ou par incertitude sur la finalité de la visite.

    Côté Mairie

    Une délégation composée du Maire Jean-Luc Gardeau, de trois de ses adjoints et de deux conseillères municipales a été reçue par le Maire de Lestiac sur Garonne, Monsieur Daniel Bouchet pour visiter le futur bâtiment qui sera proposé comme habitat partagé à destination des retraités. Présente également pour répondre aux questions de nos élus et expliquer le but de son association, Florence Delisle-Errard, fondatrice et directrice de l’association Habitats des Possibles. Pas plus de précisions pour le moment. Il faudra attendre les décisions du conseil municipal pour savoir si une collaboration est possible. Mais sachez que l’habitat partagé des maisons Brugère est toujours d’actualité.

    Côté associations

    Nous pouvons affirmer que Peter Cain, président du Comité des Fêtes et les membres des Amis de la Sauveté dont Jacques Foglia leur président qui ont participé à la première soirée consacrée aux associations sont revenus avec plusieurs sujets de réflexions et la certitude que l’Office de Tourisme du Pays de Lauzun, qui organisait cette rencontre inter-associations du territoire, serait toujours là pour donner un coup de pouce et largement diffuser l’information.

     

  • « A place in the sun », les caméras de nouveau dans le village

    Pour la seconde fois, le village de La Sauvetat du Dropt recevait les caméras d’une équipe de tournage de « A place in the sun ». Une émission de télévision britannique qui suit les acheteurs de biens immobiliers à la recherche de leur maison idéale à l’étranger.
    Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau les a croisé lundi 15 novembre devant le Pont Roman et en a ramené ces photos.

  • Stage USEP pour obtenir l’agrément avant la Ronde cycliste 2022

    Explication de Sylvie Chambolle, sauvetatoise et institutrice à l’école de Seyches.

    L’USEP 47 organisait un stage à Miramont de Guyenne pour faire passer les agréments cyclo aux parents qui accompagneront les classes de la Ronde Cycliste 2022. 90 stagiaires sur leur vélo séparés en 3 groupes étaient encadrés par les bénévoles USEP et les conseillers pédagogiques.
    Puisqu’elle est sauvetatoise, Sylvie Chambolle, en charge des parcours de 15, 22 et 27 km décidait de faire découvrir son village aux cyclistes en arrivant par le Pont Roman.

  • Un bel attelage traverse le village

    Le passant du jour se trouvait être le 1er adjoint de la commune, Germain Sauron. Charmé par l’arrivée d’un attelage inhabituel, il nous envoie ces deux photos pour immortaliser l’instant. Le cocher, Jean-Pierre Ménini, bien connu dans le village et résidant à Agnac, a déjà été sollicité avec une autre de ses carrioles à cheval pour conduire le Père-Noël au cœur du Marché de Noël.

  • Un coin presse aux Fées Gourmandises

    Une nouveauté dans votre Bar-Tabac-Restaurant Les Fées Gourmandises de l’Avenue de Grammont à La Sauvetat du Dropt, l’ouverture d’un coin presse depuis lundi 18 octobre.
    Le rayon s’étoffera très bientôt pour vous proposer un choix de 150 titres. Des magazines à sensation en passant par les journaux sportifs, la déco, le jardin, la maison, l’auto et même, pour les plus jeunes, des magazines jeunesse comme ce très attirant livret où s’étale en couverture la fameuse Reine des Neiges !


    Autre info glanée auprès de Céline tout en sirotant un café, un possible agrément « Accueil Vélo » qui serait tout à fait adéquat puisque la Vélo-Route passe à l’entrée du village via le Pont Roman et que nos cafetiers sont tous deux de fervents adeptes des randonnées à bicyclette. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés …

  • DROPT’ART, visite des deux ateliers de peintres sauvetatois, Audrey Bastard et Manu Henrion

    Samedi 25 septembre, avec Jean-Luc Gardeau et son épouse, je pars visiter les ateliers des peintres sauvetatois prenant part à l’itinérance artistique de la semaine DROPT’ART.
    Ces deux artistes, Audrey Bastard et Manu Henrion, ne se connaissaient pas avant de s’implanter dans le village de La Sauvetat du Dropt, au lieu-dit Peyronnette. Maintenant voisins, c’est tout naturellement qu’ils ont échangé sur leur travail d’artiste et que Manu incitait Audrey à faire découvrir son travail au cours des dix jours de balades en Pays du Dropt.

    AUDREY BASTARD

    Le premier atelier visité fut celui de AUDREY BASTARD. Déjà en pleine conversation avec un amateur de peinture, Audrey, au regard bleu azur, nous recevait en jeans, blouse et boucles d’oreilles aussi colorées et gaies que ses tableaux. Très peu de figuratif, surtout de l’abstraction, et libre aux visiteurs d’y découvrir des personnages ou des paysages, car la fluidité de l’encre suggère à chacun de s’imaginer une histoire derrière la libre expression d’Audrey. Suivant le grain, plus ou moins fin, ou suivant la texture du support plus ou moins absorbante, son travail est à la fois technique et ludique.

    Bien qu’elle ait commencé sa carrière d’artiste par la sculpture, Audrey, victime de grave maladie, a dû abandonner les volumes pour s’adonner à la peinture et au dessin. Une évidence lorsque dans son coma, elle avouera plus tard avoir littéralement intégré, “comme si elle avait été inondée de chaque œuvre”, les grands maîtres peintres et photographes qu’elle avait étudiés et aimés depuis l’enfance.

    Il en résulte dès le début de son difficile réveil, un attrait immédiat pour la couleur avec la réalisation de petites peintures carrées, aujourd’hui marouflées sur Médium (mdf). Puis durant les épreuves de sa longue convalescence, elle développe en parallèle deux petites pratiques, faciles à mettre en œuvre quelles que soient ses conditions de santé.

    S’ensuit un travail en noir et blanc où l’encre de Chine intensifie les contrastes et les gestes du dessin au pinceau, puis un travail d’expressions et techniques libres dans un journal de bord.
    Il en découle une très grande diversité de graphismes, une foisonnante liberté, une énergie follement colorée et un goût certain pour les encres de toutes sortes avec lesquelles elle peint et joue aujourd’hui. Quelles que soient les épreuves, Audrey cherche à les sublimer au travers de sa peinture.

    Une rencontre riche en émotions. Le partage d’une expérience douloureuse pour comprendre le chemin parcouru et ce besoin d’expression visible dans ces belles créations que vous pourrez découvrir à votre tour si vous contactez Audrey via labomarto@audreybastard.fr

    Photos des journaux de bord de la collection personnelle de l’artiste.

    MANU HENRION

    Second atelier, de l’autre côté de la route, dans une maison cubique d’allure ultra moderne bâtie autour de l’atelier de l’artiste, nous étions reçus chez MANU HENRION. Ce Belge installé avec son épouse dans le village depuis quelques années est toujours resté discret quant à ses activités artistiques avant d’accepter de participer à l’itinérance DROPT’ART.
    Nous entrons dans sa maison par l’entrée où sont accrochées de grandes toiles, là aussi, colorées. Sur la plupart des tableaux, une couleur domine et se décline en nuances subtiles. Des gris infinis, des bleus turquoise, des verts prairies de printemps … le style est abstrait bien que l’on y devine de vastes paysages ou des étendues d’eau aux reflets changeant, aux mouvements menaçants, surplombées de ciels chargés au travers desquels percent des rayons de lumière. Le fil conducteur en est toujours une ligne horizontale posée sur le premier tiers de l’œuvre et aussi, souvent, une touche de rouge flamboyant qui rappelle l’œil malicieux et pétillant du peintre.

    Dans cet univers cubique, nous empruntons un escalier rond en colimaçon pour parvenir à ce qui est véritablement l’atelier de l’artiste. Atelier où de grandes baies vitrées font jouer la lumière sur de nombreuses œuvres exposées aux murs et sur des tables. Des peintures acryliques et des pastels. Tout en discutant à bâton rompu, Manu Henrion propose une démonstration de pastel. Sur un petit papier carré au grain prononcé provenant des papeteries du Moulin de Larroque en Dordogne, la main est sûre et le geste précis. D’autant plus que ce travail, qu’il va offrir à Madame Gardeau, raconte, avec tout l’humour qui le caractérise, leur première rencontre dans le village. Contact mouvementé pour ne pas dire houleux au sujet d’une place de parking ! Histoire retranscrite au pastel qu’elle ne pourra pas oublier !
    Pour moi, un ancien grément toutes voiles gonflées prend le large. Au centre de la ligne horizontale de départ, une virgule rouge vermillon qui signale, au choix, le point d’ancrage quitté, le pompon du marin ou peut-être un avertissement à ne pas se fier au calme apparent de la mer qui semble, là, apaisée …

    Bien que Manu Henrion ait reçu une petite centaine de personnes au cours de ces 10 jours DROPT’ART, nous sommes seuls à ce moment-là et avons le privilège de partager un verre au comptoir de sa cuisine. Un autre espace de la maison où l’on prend conscience de l’échange permanent de l’artiste avec la nature. A travers une large baie vitrée se déploie un immense parc de verdure. Quelques arbres et posée au sol, une sculpture de métal rouillée que l’on dirait représenter un château fort aux murailles crénelées.

    Un grand merci pour cette intrusion dans votre univers d’artiste. La porte de l’atelier de Manu Henrion reste ouverte à qui le souhaite. Il suffit de prendre rendez-vous sur la page ad hoc de son site. Vous pouvez également suivre l’actualité de ses expositions sur sa page Instagram.

    Photos des tableaux seuls de H-uman.

     

  • DROPT’ART, visites d’ateliers d’artistes en Pays du Dropt

    Photo de l’affiche DROPT’ART créée par Manu Henrion, artiste peintre de La Sauvetat du Dropt.

    Dix jours de balades en pays du Dropt, sur nos routes de campagne, au cœur de 13 villages et bastides, du 17 au 26 septembre au rythme de 14 ateliers d’artistes et 7 lieux d’expositions, vous y rencontrerez les 56 artistes et découvrirez leurs œuvres, leurs techniques, leur univers.

    Pour la troisième année, les artistes du pays du Dropt : peintres, sculpteurs, photographes, tisserande, dessinateurs, plasticiens vous invitent à découvrir leurs lieux de créations, leurs différentes démarches artistiques, leurs invités en ouvrant leurs portes et en s’associant à des lieux de culture et du patrimoine.

    Le florilège vous permet de rencontrer une œuvre de chaque artiste du parcours sur trois jours dans le village de Monteton.

    Vendredi 17 septembre : Ouverture du Dropt’Art avec le vernissage du florilège à 18h30 au Bourg de Monteton.
    Samedi 18 et dimanche 19 septembre : Florilège de 10h00 à 19h00 au Bourg de Monteton.
    Du samedi 18 au dimanche 26 septembre : Ouverture des ateliers d’artistes et des lieux d’expositions, tous les jours de 10h00 à 19h00. Entrée libre et gratuite.

    Des vernissages, des rencontres, des ateliers découvertes (adultes et enfants) et des concerts sont programmés sur les différents sites tout au long de la manifestation (voir dépliant ou site).

    Contact : dropt.art.ateliers@gmail.com – 06 49 11 50 32 / 06 74 54 54 03
    https://droptartateliers.wixsite.com/artistes/ ou https://www.facebook.com/visitesdateliersdartistes

    Parmi les 56 artistes qui ouvrent leur atelier, deux sauvetatois

    Manu HENRION et Audrey BASTARD sont tous deux sauvetatois et se sont rencontrés parce qu’ils sont voisins. Leur maison respective se situent au lieu-dit Peyronnette, sur les hauteurs du village. Ils ouvriront tous deux leur atelier lors de ces journées DROPT’ART. Entrée libre.

    MANU HENRION, peintre pastelliste abstrait, il ouvrira son atelier et travaillera le pastel en direct.

    Naissance en 1951. Études en arts graphiques I.A.T.A. Namur , Belgique. Cours de dessin, croquis et peinture à l’Académie Constantin Meunier à Etterbeek (Bruxelles) en 1980 et 1981. Diplômé de l’ Académie des Beaux Arts à Namur : Cours de peinture de et avec Jean-Pierre Gonthier de 1987 à 1988 et de 1998 à 2004. Stages avec Sébastien Delire en 2003 et 2004.​

    AUDREY BASTARD, graphiste en art contemporain.

    Née à Marseille en 1975. Elle entre successivement aux Beaux-arts de Rueil-Malmaison, Amiens et Paris dont elle obtient les diplômes. C’est au cours de cette période intensive d’étude, qu’elle voyage en Grande-Bretagne, Chine, Thaïlande, Australie, Norvège, Italie, et développe sa maturité, sa sensibilité et l’assurance d’un travail artistique précis et “abrasif”.

    Après avoir travaillé 10 ans en région parisienne, Audrey Bastard se retire dans le sud-ouest de la France afin de poursuivre sereinement son travail. Ses sculptures, dessins et installations interrogent et revendiquent le monde contemporain en y convoquant les liens physiques et émotionnels qui le relie au passé ; « ce qui fait que le monde est ce qu’il est : difficilement palpable au présent et dans lequel une mise en ordre des choses finit par nous échapper… »

    DROPT’ART, les ateliers d’artistes, l’agenda et les temps forts