Commentaire de Jean-Claude Labattut alias Paulo, secrétaire de l’US Cyclo Sauvetatois, photos de Paulo et de Gisèle Dupoux, épouse de cycliste.
Dimanche 16 octobre, le cyclo-club est parti pour sa promenade automnale, clôturant ainsi les sorties sportives de l’année 2016. L’objectif de cette année, la découverte de la vallée du LOT, en privilégiant l’itinéraire passant par le circuit VÉLOROUTE.
8h15, Départ de MIRAMONT pour 75 kms de balade direction TONNEINS où nous effectuons la pause café, et retrouvons JEAN-PIERRE déjà égaré!!! La suite, circuit plat par MONHEURT, ST LEGER, avant de rejoindre AIGUILLON, justement là où le LOT vient grossir le lit de la GARONNE.
En passant nous nous contentons de regarder le PECH DE BERRE, qui culmine sur notre gauche et qui nous a déjà fait souffrir l’année passée. La traversée de CLAIRAC avec son célèbre lycée technique rappelle quelques souvenirs à certains d’entre nous. Maintenant, petite route sinueuse jusqu’à CASTELMORON, JEAN-PIERRE nous suit comme son ombre, même quand nous nous trompons et atterrissons dans un jardin!!! En vélo, facile de faire demi tour, en voiture, il vous racontera.
Arrivée au TEMPLE/LOT, sur la base de loisirs. Les dames nous attendent entourées d’une équipe de pétanque féminine de FONTET venue s’entraîner dans ce cadre de renommée internationale dirigée actuellement par Julien LENAOUR, enfant de ROUMAGNE, qui a eu la gentillesse de nous accueillir.
Après un excellent repas au restaurant LA COMMANDERIE, retour par le trajet le plus court, 55 kms pas si terrible, mais pour cela il faut franchir la MONCAUBETTE, difficulté bien connue des tonneinquais. ROGER qui redoutait ne comprends pas, même pas fatigué !!! Comme quoi l’ambiance peut parfois faire oublier l’effort.
Et pour clôturer la journée, rien de tel qu’une bonne auberge espagnole à LA SAUVETAT, toujours trop copieuse, mais tellement conviviale! Journée qui ne pouvait se terminer sans la traditionnelle partie de belote, et là, les deux JEAN-PAUL de l’équipe se sont vus infliger la plus sévère correction que l’on puisse imaginer. Ce jour là, ROGER quand même bien secondé par ALAIN était décidément trop fort!