• Pourquoi offre-t-on du muguet le 1er Mai ?

    Un article qui vous explique tout sur le muguet et son lien avec la Fête du Travail. A lire en ligne sur le magazine GEO.
    Photo des bouquets de muguets et de roses de Lisa, vendus le 1er Mai au Bar-Restaurant Les Fées Gourmandises.

    Quel est le symbole du muguet ?

    Comme chaque année, il est de coutume d’offrir un brin de muguet à ses proches le 1er mai. Arrivée en Europe au Moyen Âge, cette fleur odorante – et toxique – est originaire du Japon.
    Symbolisant le retour du printemps et des beaux jours, elle est même synonyme de porte-bonheur dans certaines cultures.

    Pourquoi offre-t-on des brins de muguet le 1er mai ?

    C’est au XVIe siècle que la tradition d’offrir du muguet est née. A cette époque, la fête de l’amour n’était pas le jour de la Saint Valentin, mais bien le 1er mai. Les princes et les seigneurs fabriquaient alors des couronnes de fleurs, afin de les offrir à leur bien-aimée. Ayant reçu du muguet, le roi Charles IX décida, le 1er mai 1561, que dorénavant, les dames de la cour recevraient cette fleur à clochettes blanches tous les ans. Le muguet a gagné en popularité au fil des siècles, très présent dans les défilés de mode et les parfums.

    Pourquoi est-il de coutume d’offrir 3 brins de muguet ?

    Traditionnellement, on offre trois brins de muguet composés, si possible, de 13 clochettes pour porter chance à celui qui reçoit le bouquet.

    Quel est le rapport entre le muguet et la Fête du travail ?

    Si la Fête du muguet et la Fête du travail ont toutes les deux lieu le 1er mai, ces deux célébrations n’ont pas grand chose d’autre en commun. La Fête du travail, dont les origines remontent aux Etats-Unis en 1884, commémore le combat des travailleurs pour obtenir de meilleures conditions de travail.
    On pourra néanmoins remarquer que, de nos jours, certains manifestants ont pris l’habitude de porter un brin de muguet à leur veste, au lieu de l’habituelle églantine rouge.

  • Sortie cycliste du 1er mai et repas aux Fées Gourmandises

    Résumé de la journée de Paulo Labattut, secrétaire du club, photos de Paulo et Georgette Morancho.

    Après deux années d’abstinence pour raison sanitaire, inutile de préciser le plaisir avec lequel nous avons pu renouer avec notre traditionnelle randonnée du 1er mai !
    Pour cette reprise, nous avions décidé de rester chez nous. Après tout, où est on mieux que chez soi ?
    Côté circuit, nous avons voulu quitter la Vallée du Dropt pour faire découvrir aux nouveaux adhérents de l’USS Cyclo, eux qui pensaient aménager dans une région de plaine, les contreforts chers à notre ami Germain, du côté de Monclar, Montastruc, Monbahus, Lauzun …

    Pour ce qui est de la restauration, une décision collégiale des membres du bureau avaient décidé de faire travailler les nouveaux propriétaires du restaurant « Les Fées Gourmandises » dans notre fief de La Sauvetat du Dropt. Décision qui, je pense, a satisfait cyclistes et amis si l’on s’en réfère à leur mine réjouie après le repas !
    La salle nous étant réservée pour l’après-midi, nous ne pouvions moins faire que nous distraire avec une bonne belote autant acharnée que bruyante pendant que les dames se confrontaient autour du triomino.

    Notre grande satisfaction est de compter parmi nous les anciens du club, non pas atteint par la limite d’âge mais disons plutôt, la limite du raisonnable. A ce sujet, nous avons eu une immense pensée pour notre président Jean-Pierre Meyrat, hospitalisé en ce moment, et auquel nous adressons tous nos vœux de bon rétablissement.

    Prochains événements

    Les 22 23 et 24 juillet pour le Tour de France à Rocamadour.
    Le Rallye cycliste du 7 août à La Sauvetat dans le cadre de la fête votive du Comité des Fêtes qui rassemble les associations du village.

  • Sortie périgourdine pour l’US Cyclo Club

    Résumé de la sortie de Paulo Labattut, secrétaire et cycliste invétéré. Photos de Georgette et Michel Morancho, Germain Sauron et Paulo.

    Mercredi 1er MAI 2019, journée ensoleillée pour notre randonnée printanière, douze cyclistes dont une dame REGINE, sont rassemblés devant la maison des loisirs de LA SAUVETAT pour une excursion en direction de MONTPEYROUX.

    Après les traditionnelles photos souvenir, le petit peloton sillonne le long du Dropt jusqu’à Eymet, saluant au passage de nombreux pêcheurs pratiquant eux aussi leur sport favori. Après les premiers contreforts, pieds à terre à Puyguilhem où GUY riche de ses 81 printemps monte en selle sur sa petite reine. Il à tenu à rouler avec nous jusqu’au Fleix, faut dire que Mylène ne lui avait pas trop laissé le choix, c’était l’objectif affiché pour mériter son repas de midi.

    Nous attaquons la partie un peu plus technique jusqu’à St Méard de Gurçon, où se déroule la fête des fleurs, bain de foule obligatoire à pieds pour traverser le petit village en fête. Très rapidement nous atteignons Villefranche de Lonchat, où les accompagnateurs motorisés nous attendent appareil photo et caméra au point.

    A 12 heures, nous voici rassemblés sur la petite place de Montpeyroux juste en face du restaurant « LA GUARIDA » où nous devons nous restaurer, moment très important dans un programme cyclo TOURISME digne de ce nom.

    Après manger, tous ensembles en voiture, destination SAINT EMILION, promenade dans les rues piétonnes encombrées de touristes et visite guidée des monuments souterrains et son église monolithique.

    La journée n’aurait pas été complète sans la non moins traditionnelle auberge espagnole dans la salle de LA SAUVETAT, soirée pendant laquelle nous avons, encore une fois, mais on ne s’en lasse pas, dégusté le fameux tourin de Mylène, les pâtés, rôtis, salades, fromages en bien trop grand nombre et bien sur le riz au lait de Louise accompagné des merveilles laissées généreusement par Les Amis de la Sauveté.

  • Sortie Bordelaise du 1er Mai pour l’USS Cyclo Club

    Photos et commentaires de Jean-Claude Labattut, alias Paulo, cycliste invétéré que vous reconnaîtrez à la « bouteille d’anis » posée devant lui sur une des dernières photos. Bouteille mise là … uniquement pour la déco nous confie-t-il 😉 

    Elle avait été, bien préparée, organisée cette journée, le seul paramètre incertain concernait la météo. Après une nuit bien arrosée, l’éclaircie du matin nous autorise quand même à prendre le départ sur une route mouillée, synonyme d’éventuelles crevaisons, et de ce côté-là, nous avons été gâtés. Entre Miramont et La Sauvetat, Alphonse perce une première fois, vite remorqué par Pakita et Hervé. Pas trop grave, nous prenons le départ avec un peu de retard, mais le voilà qui récidive avant Moustier. La fameuse loi des séries!!!

    Tandis que nous roulons en direction de Sauveterre, l’équipe des accompagnateurs s’organise devant la maison des loisirs sous les directives très strictes de Mylène.!!! Premier point de rencontre à Sauveterre au départ de la piste cyclable, c’est Roger Lapébie qui va nous mener jusqu’à La Tresne.

    Comme redouté auparavant la chaussée mouillée pendant la nuit n’épargne personne et à son tour, Jean-Luc Gardeau goûte aux joies de la crevaison. Après tout, pourquoi épargnerait-on Mr le Maire!!! Nous ne détaillerons pas la liste des cinq crevaisons de la matinée, qui ne nous ont même pas découragés. Avec à peine un peu de retard, nous voici arrivés à La Tresne où nous faisons la photo des participants et participantes de ce périple.

    Maintenant, place aux choses sérieuses, nous allons déguster le repas préparé par le restaurant « jemkooa ». Après cet excellent intermède, après midi découverte à Bordeaux avec la traversée sur le pont Chaban-Delmas, puis la visite de la Cité du Vin avant de regagner La Sauvetat en voiture.

    Déjà vingt heures, mais pensez bien que la journée ne pouvait pas se clôturer sans la traditionnelle auberge espagnole du soir, où nous avons pu apprécier le fameux tourin de Mylène, ainsi que les pâtisseries maison concoctées par nos compagnes.